Séminaire a la Baule
Datte: 14/06/2019,
Catégories:
Lesbienne
... séminaires ?- Les femmes !- Je suis lesbienne, donc, oui, ça m’arrive. Je suis en couple, mais je n’ai rien contre une aventure sexuelle par ci par là !Nous étions toujours collées l’une à l’autre. Elle s’écarte de moi, je lui glisse :- On ne va pas faire ça ici sur le lavabo, quoique ça puisse être d’un érotisme torride. Quelqu’un va finir par entrer. Le café de ce matin ne va tarder à faire de l’effet auprès de ces dames.- On peut aller dans ma chambre, je suis dans cet hôtel- Bonne idée, sauf que nos manteaux sont restés là-bas.- Ecoute, on y retourne, on reprend nos places et à la pause on s’éclipse- D’accord, j’y vais la première, tu attends deux ou trois minutes, histoire de rester discrètes.- C’est d’accord. Ah au fait ! C’est quoi ton prénom ?- Sophie et toi ?- ClaireNous avons regagné nos places à quelques minutes d’écart. Nous ne nous regardions plus, histoire de ne pas nous enflammer à nouveau. Mais qu’est-ce que j’avais envie d’elle. J’imaginais qu’elle aussi de son côté avait envie de moi. Je repensais à notre baiser fougueux. Je pensais à ce que nous allions nous faire dans sa chambre. Mais p…., ça n’en finit plus ce truc ! C’est quand la pause ? J’espère qu’il y en a une au moins, qu’il ne va pas falloir attendre midi. Il n’est que 10h15 en plus.Enfin vers 10h45, on nous a annoncé la pause.- 15 minutes, pas plus ! Nous avons un programme chargé après, annonce le type sur l’estrade« Oui t’as raison, nous aussi nous avons un programme chargé » pensais-je en ...
... agrippant mon sac à main, mon manteau et en quittant la salle juste derrière Claire.Je l’ai suivie dans le hall de l’hôtel, puis j’ai attendu à l’écart derrière une plante verte, quand elle a été cherché la carte magnétique de sa chambre à la réception.Nous avons appelé l’ascenseur :- C’est au huitième me dit-elleDans l’ascenseur, nous avons repris notre baiser et nos attouchements, nos manteaux et nos sacs posés à nos pieds.J’avais très envie d’appuyer sur le bouton arrêt pour immobiliser l’ascenseur et de faire notre petite affaire ici. Ma main s’est glissée sous sa robe et s’est plaquée sur le haut de sa cuisse. Ce n’était pas des collants, mais des bas qu’elle portait. J’étais partie à la recherche de sa culotte, quand le « ding » de l’ascenseur m’a interrompue. Nous étions au huitième, faute de septième ciel, mais ça c’était juste une question de temps assurément.Nous avons ramassé nos affaires à nos pieds, puis nous sommes sorties dans le couloir.- C’est là, me dit-elle devant la chambre 808.Empêtrée avec son manteau, son sac, Claire avait du mal à passer la carte dans la fente réservée à cet effet, afin d’ouvrir la porte. Ses mains tremblaient légèrement, surement à cause de l’excitation. Moi je pensais à sa fente à elle réservée à un tout autre effet.Faut dire, je ne l’aidais pas pas beaucoup sur ce coup-là. Après avoir jeté un regard à droite et à gauche, pour vérifier qu’il n’y avait personne dans le couloir, je lui ai agrippé les fesses entre mes mains, je me suis ...