Les mains chaudes
Datte: 14/06/2019,
Catégories:
ff,
ffh,
couleurs,
couplus,
extracon,
prost,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
échange,
init,
extraconj,
fbi,
... plus me considérer seulement comme une « cliente » mais comme une partenaire. — Attends, viens ! dit-elle dans un souffle qui montre combien elle est sensible à mes attouchements. Nous nous déplaçons, impatientes de reprendre nos ébats, et nous nous retrouvons en 69, face à face, plutôt bouche à chatte. Et maintenant chacune est en position de répondre, caresse pour caresse, succion pour succion, langue pour langue. Je me concentre car je ne veux pas me laisser emporter par le plaisir avant d’entendre Clara crier le sien. Enfin, elle jouit et, si ses lèvres peuvent simuler, le liquide abondant qui s’écoule de son intimité ne peut pas mentir. Je suis fière, heureuse, pleinement satisfaite du but atteint. Maintenant je peux me concentrer sur mes propres sensations. Quelle agréable façon de se réveiller. Mon hôtesse sait recevoir et rien ne vaut un câlin pour commencer la journée. Je ne suis pas particulièrement attirée par les femmes, mais il faut reconnaître que ça a son charme. Ophélie m’a amenée à la jouissance avec brio. À moi maintenant. Je suis confortablement installée, un coussin sous la tête, aussi ma bouche est bien placée pour embrasser les petites lèvres de ma maîtresse avant de sortir le petit bouton pour l’aspirer entre mes dents. Mes mains écartent ses fesses pour me faciliter l’accès à son intimité et de cette façon je la lèche avec de grands coups de langues pour humidifier son sillon avec ma salive et sa propre liqueur. Bien qu’occupée par ce doux labeur, je ...
... remarque pourtant que la luminosité change. En basculant légèrement la tête en arrière j’ai la vision d’un plateau maintenu par deux mains et d’un sexe d’homme reposant sur ses testicules. C’est bien sûr Thomas, dans le plus simple appareil, qui m’apporte mon petit déjeuner. Enfin quand je dis, reposant, ce n’est presque plus vrai car le spectacle que nous offrons ne le laisse pas indifférent et je le vois doucement gonfler, palpiter et se raidir suffisamment pour se tenir horizontal. D’une main je lui fais signe de poser le plateau et de venir me rejoindre. Je ne pense pas qu’Ophélie ait remarqué sa venue. Je n’ai pas cessé de la caresser et elle est maintenant dégoulinante de mouille que mes doigts utilisent comme lubrifiant pour la branler et franchir le passage étroit de son anus. Thomas est là, juste à quelques centimètres et lorsque j’ouvre la bouche il comprend l’invite pour amener sa queue au bord de mes lèvres. Je suce son gland mais, comme il reste sans bouger, je saisis ses testicules dans ma main et par une légère pression je lui fais comprendre d’oser aller plus loin. Je l’accueille presque entièrement, le faisant aller et venir à mon rythme pour le faire durcir encore, au point qu’il s’échappe lorsque je le laisse ressortir. Mais mon idée n’est pas de le faire jouir en moi. Non, je veux qu’il prenne la place des doigts qui ont élargi le chemin du cul de sa femme. Je suis d’ailleurs surprise de voir que l’œillet reste bien ouvert lorsque je retire mes doigts et ...