Floride
Datte: 14/06/2019,
Catégories:
ff,
freresoeur,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
fgode,
... rafraîchissant de la climatisation. Car Olga est nue. Ou presque ! Un minuscule string vert fluo est son seul vêtement. Si ridiculement étroit et moulant qu’il ne cache quasiment rien de son anatomie. "Un petit con bien rebondi, des lèvres charnues sous un pubis plutôt saillant" remarque Alena. L’interrogeant sur sa rencontre et sa relation avec Christie, Alena jauge la jeune fille. La vraie-fausse suédoise est remarquablement bien foutue, poitrine arrogante, taille fine, ventre ferme, cuisses fuselées, une plastique irréprochable, presque trop. Ce corps parfait, ses longs cheveux blonds et son visage fin, oblong, parfaitement symétrique, lui conféreraient même une allure froide de mannequin insipide si ses yeux verts ne pétillaient de malice. Olga paraît très douée pour les mimiques expressives. Très mobiles, ses traits traduisent ses propos, son visage s’anime et exprime ses sentiments, ses réactions. Avec simplicité et décontraction, elle raconte comment Christie l’a fait basculer, elle jusque-là parfaitement hétéro, dans cette bisexualité qu’elle trouve désormais si confortable et épanouissante. Elle évoque avec naturel les sensations découvertes, la complicité établie, la douceur de leurs ébats, raconte comment debimbo elle est devenue chatte, comment elle est passée de la recherche de performances relativement égoïstes à celle de la volupté partagée. Sans complexe, la blonde n’hésite pas à détailler des situations de plus en plus précises et dont l’évocation ...
... visiblement l’échauffe. Ses mains accompagnent ses paroles, dessinent des arabesques gracieuses dans l’espace, caressent les contours de son corps, s’égarent sur ses seins, s’insinuent entre ses cuisses. Un peu gênée mais pas indifférente à ces récits indécemment précis, Alena se tortille sur son siège, tire sur sa robe trop courte pour dissimuler son intimité qui s’échauffe. La manœuvre amuse visiblement Olga qui le lui fait remarquer : — C’est pas la peine de te cacher, tu n’as rien à me cacher, je connais tout de ton corps je te rappelle, depuis trois mois que je couche avec ta jumelle. Alena se sent mise à nu par cette simple remarque, réalise la trouble intimité qui la lie malgré elle à cette inconnue, l’impossibilité qui est la sienne de lui dissimuler quoi ce soit, et plus encore, l’impossibilité qui serait la sienne de lui dévoiler quoi ce soit d’original ou d’inédit. À maintes reprises, confrontée à des amants de sa jumelle, Alena avait perçu les regards étonnés et inquisiteurs de ces hommes, elle s’était amusée de leurs coups d’œil si peu discrets sur son anatomie, s’était sentie déshabillée et avait deviné leurs pensées. Mais aucun n’avait jamais exprimé clairement ses interrogations et encore moins ses certitudes. — Il faudra quand même qu’on joue au jeu des différences, se ravise Olga, il doit bien y en avoir entre vous ! Physiquement, pas la moindre, pense Alena. De tous temps, les deux sœurs ont cherché les moindres détails qui puissent les distinguer. Rien, pas même une ...