Retour à Palavas (2)
Datte: 14/06/2019,
Catégories:
Erotique,
... c’est bon !!! » Nous ne sommes plus qu’à quelques mètres de la plage, et il écarte mon visage, pour contrôler l’arrivée de notre voilier sur le sable. A peine s’est il immobilisé qu’il me tire par les pieds, au bord du trampoline, et qu’il arrache mon pauvre string. Sa tête plonge entre mes cuisses, et je sens son souffle sur mon mont de Vénus tout lisse, sa bouche qui se plaque contre ma chatte affamée, sa langue…. Oh sa langue ! Je n’attendais que ça ! IL dévore mon abricot gorgé de sève. Je gémis, je crie, appuyant mes deux mains sur sa tête comme si je voulais l’empêcher de mettre un terme à ce cunni, divin. Je coule, et ma cyprine macule son visage en se mêlant à sa salive. C’est trop bon. Mes cuisses se serrent autour de sa nuque, je me raidis, je me cambre… Et je jouis, je gicle déjà sur ses joues, dans sa bouche. Je n’ai pas repris mon souffle qu’Alex se relève, et qu’il se débarrasse en un éclair de son short de bain. Je contemple sa queue dressée le long de son ventre, et je jette sur le sable mon soutien-gorge, inutile. — Je te veux, rugit-il. Je veux te baiser. — Oh oui, baise moi. Défonce moi. Fais moi jouir encore. Fais moi hurler. Je veux être à toi. Je me suis relevée aussi, et je passe mes bras autour de son cou. Je l’embrasse, à pleine bouche, et tandis que nos langues se mêlent, il me porte contre un rocher. Ses lèvres descendent sur mes seins, il mordille les pointes, pendant que je le caresse fiévreusement. C’est un soulagement quand il me retourne et me ...
... fais écarter les cuisses. Enfin. Je pose mes mains sur le rocher, et je me cambre. C’est à peine s’il a besoin d’ouvrir ma fente avec ses doigts, tant elle est déjà ouverte et trempée, et son gland s’enfonce en moi, facilement, profondément. Il commence à aller et venir dans mon intimité, et très vite, ses coups de reins se font de plus en plus brutaux, me décollant du sol. Je gémis, je crie de bonheur, mais j’ai du mal à conserver l’équilibre. Alors, sans se retirer, Alex me fait m’agenouiller sur le sable, et il me baise à nouveau, plus fort. D’autant plus que je me cambre, et que je bouge mon bassin pour mieux me faire perforer. Lorsqu’il ralentit, c’est moi qui contractes les muscles de mon fourreau, comme pour broyer ce gland qui me fait grimper au septième ciel. — Tu aimes quand je te baise comme ça ? Me demande-t-il. — Oh ouiiii. Je voudrais que ça n’arrête jamais. — Tu me sens bien ? — Ou… Oui… Et toi, tu aimes ça ? Dis-je en contractant de nouveau ma chatte. — J’adore… Tu es vraiment cochonne… Tiens ! - et il s’enfonce d’un seul coup au plus profond de mon minou, en agrippant mes hanches. — Ooooooh ! Salaud… Oh oui, c’est trop bon… Continue… A ce moment-là, Alex me tire les cheveux. Sur un chemin qui surplombe la plage, j’aperçois un homme qui nous observe, en se masturbant. La vision de ce voyeur nous excite un peu plus. Alex se retire presque entièrement, et sa main s’abat sur ma fesses. Une grande claque sonore, qui va sûrement les faire rougir. — Ça te plaît de ...