Unif Sissy transformation (Ep. 2)
Datte: 15/06/2019,
Catégories:
Anal
Gay
Transexuels
... eu durant cette soirée… Ils me tendirent le verre, et une dizaine de gars, nu, m’encouragèrent en tapant dans les mains… Je bus d’une traite le sperme mélangé et avala le tout, cul sec, sous les applaudissements des gars présent… J’étais une star, aimée et désirée par tous, ayant connu plus de plaisir ici en deux heures que durant toutes mes années de vie qui avaient précédées cette soirée !Les garçons se rhabillèrent, vinrent discuter avec moi, m’embrasser, demander mon numéro, puis partirent l’un après l’autre. Lorsque je pus enfin tenir debout, je me rhabillais et sorti moi aussi de la villa. Quelle soirée merveilleuse !C’est là que je m’aperçus que Mike et Kathy étaient partis depuis fort longtemps, que j’étais seule quelque part en banlieue, qu’à cette heure-ci il ne devait pas y avoir de bus… zut ! Comment allais-je rentrer à la maison ? Je marchais quelques minutes, incertains quand à la direction à prendre quand je vis un taxi arriver… Je lui fis signe et il s’arrêta. Sauvée ! Je montais à l’arrière et donnais l’adresse au chauffeur. Un type la cinquantaine, enveloppé, barbu, style « ours » mal léché… Le silence s’installa dans la voiture, et un bon quart d’heure plus tard il s’arrêta près de la maison.- On y est, ça f’ra 20 dollars mamzelle. Pourboire non compris.Il grognait au lieu de parler. Je voulus mettre la main dans la poche de mon jeans, où il y avait toujours quelques billets, au cas où, mais je ne rencontrais que le tissu de la jupe et le nylon des bas. ...
... Mince, j’étais en jupe, pas en jeans. Je n’avais pas mes billets. Et n’ayant pas de sac, je n’avais pris ni portefeuille ni rien du tout. Je déglutis, très embêtée.- Quoi ? Vous n’allez pas me dire que vous n’avez pas d’argent ? Vous pensiez quoi, pouvoir prendre le taxi sans payer ???Il s’énervait vraiment, devenant rouge dans son visage. J’avais peur, très peur. Encore plus qu’avant, j’avais peur comme… comme une faible femme sans défense ! Je paniquais et prit la seule échappatoire que je voyais à ce moment… Je relevais un peu ma jupe, montrant les jarretelles…- On…on pourrait peut-être s’arranger autrement ?Il me regarda, lorgnant sans vergogne mes jambes, mon décolleté. Il sembla se calmer, jurant quand même entre ses dents, puis sortit de la voiture en claquant la porte. Il ouvrit la porte de mon côté et j’espérais vraiment que pris de pitié il me jette dehors de son taxi et s’en aille. Mais non, il vint s’asseoir, me poussant au passage. A peine assis, il posa sa main sur ma cuisse, me caressant de façon indécente.- Ecoutez jeune fille, je n’aime pas m’énerver comme ça, mais vous vous rendez compte ? Si personne ne paye son taxi, comment je gagnerais ma vie moi ? Il faut bien comprendre que tout travail mérite salaire !Disant cela il pris ma main et la posa sur son entrejambe. Il avait un short long en coton, à la propreté douteuse, et je sentais la bosse faites par son érection. Mi-dégouttée, mi-appeurée, je caressais la bosse, tandis qu’il posa sa grosse paluche poilue ...