1. COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (19/23)


    Datte: 15/06/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    La boîte semble vouloir se venger de l’avoir volontairement laissée dans le tiroir de ma table de nuit à Dijon. Tout a commencé à la gendarmerie de Dole où l’adjudant Franck m’a emmené dans ses appartements pour que je me donne. Tout a continué dans la salle où doit avoir lieu le mariage de mon fils avec Anabelle, Jennifer ma vendeuse et Martine l’une des deux mariées. Depuis que ma chatte s’est échauffée, ce "putain" de parchemin me met le feu au cul. Il a fallu que je fasse un effort surhumain quand nous avons surpris les jeunes baisant sur la table du restaurant de Fabrice et de Louisa pour ne pas participer. Est-ce le fait qu’ils nous disent que leurs patrons sont montés à la source bleue qui me calme dans la tête, mais pas dans ma culotte brillante par son absence ? L’eau est froide, pour être froide elle est froide, j’arrive à descendre dans la vasque que forme la source à la sortie de la montagne. • Véronique, c’est toi, viens nous rejoindre, tu verras après quelques minutes l’eau est divine. • Martine, rejoins-nous. • Pas pour tout l’or du monde, il y a des serpents qui viennent boire la nuit, j’ai déjà peur simplement d’être venue ici à la tombée de la nuit. Louisa m’embrasse, Fabrice en fait de même, je prends sa queue directement dans ma main, il est tout mou, certainement le froid. Je veux une queue, il faut que je sois pénétrée, l’eau froide n’atténue en rien l’envie de baiser. Je prends peur pour le jour de la noce de mon fils ! Je pense que dès mon retour, je ...
    ... vais remettre le parchemin dans mon sac, il semble être plus sage quand je l’ai sur moi. Aujourd’hui, il me fait sauter sur tout ce qui bouge, Fabrice commence à réagir. • Eh bien mes salopards, ne vous gênez pas, baisez devant moi pendant que vous y êtes. Je comprends mieux pourquoi je t’ai retrouvé en slip l’autre soir, tu venais de sauter cette pute, je t’ai simplement invité à prendre un bain frais. Je lâche la queue convoitée et je m’approche de Louisa, je la prends dans mes bras et je lui pose directement ma bouche sur la sienne avant de la libérer. Ses seins fortement développés et très frais entrent en contact avec les miens me faisant frissonner. • Dis-moi Louisa, quand tu étais chez moi l'autre jour et que tu nous sommes gouinée avec mes copines, tu étais loin de te préoccuper de ton homme à ses fourneaux. Assume ma belle comme j’assume mon homosexualité, mieux même ma bi-sexualité. • Poupette ne me dis pas que tu broutes des chattes, merde, j’aurais bien voulu être là. • Fabrice, ne serais-tu pas un peu candaulisme sur les bords ? Je reprends la bouche de Louisa, elle hésite au début mais sa langue finit par entrer en contact avec la mienne. Ses doigts entrent dans ma chatte, ma grotte est accueillante tellement ma cyprine va faire remonter le niveau de la vasque malgré la sécheresse extérieure. Je sens Fabrice dans mon dos, sa verge bien dure sur mes fesses et à l’orée de mon vagin. Louisa quitte ma bouche et ses doigts quittent ma grotte. • Baise-là. C’est elle ...
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