1. Couleur café…Que j'aime ta c...... (1)


    Datte: 16/06/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... garce. La pute. La trainée. Fille de joie. File à marin. Fille a soldat. Pute à "nègres". Stop ! Hurle ce qu’il me reste de raison dans un cerveau bouillonnant de sensations contradictoires. Tu n’as pas le droit ! Elle vient de te voir avec d’autres femmes. Elle vient de te voir possédé par un homme. Comment peux-tu être si mesquin ! De si mauvaise foi ! Après tout c’est toi qui a commencé et même si tu n’étais pas dans ton état normal, elle non plus. Je me calme. Après tout ce n’est pas si grave. Nous avons été emportés par un torrent bien plus fort que nous. Elle jouit. Elle est belle quand elle jouit. D’habitude elle n’a pas la bouche pleine de la queue d’un autre et elle est plus claire. Mais ce n’est pas désagréable d’entendre ses grondements un peu comme lorsque je me décharge dans sa gorge et qu’elle se fait du bien avec un gode. Ici c’est juste que le gode est vivant. Vivant ! Sombre ! Imposant ! Actif! Un gode qui se décharge en elle laissant suinter des trainées blanchâtres de sa fente, preuve qu’un chanteur Toulousain célèbre avait raison pour la couleur des os mais aussi du foutre, quelques soit la peau du donateur. L’homme se retire. Un autre va prendre sa place. Je vais assister à une partouse. Mais on entend des voix. Je reconnais celle de Roger, et il parle une langue inconnue. La caméra montre maintenant le roi et sa reine qui viennent d’entrer. Je comprends qu’ils arrivent après m’avoir laissé seul avec la vieille. Ainsi, alors que moi je me faisais ...
    ... sucer par cette gorge sans fond, me donnant une nouvelle vigueur pour satisfaire une femme qui vient d’apparaitre par magie, le couple passait voir ma femme. Tout devient plus clair. Surtout que Roger échange avec le couple des propos dans lesquels je reconnais "Mari" Pierre". Ils parlent de moi. Ils viennent voir ma femme. Après le mari, l’épouse. Mais Nadia ne se formalise pas. Elle est encore chaude et son regard, les pupilles toujours dilatées montrent que je ne suis pas seul en cause. La reine monte sur la table. Elle s’accroupit, dans une pause obscène sur le visage de Nadia. Nul doute que ma femme lui prodigue ce qu’attend la femelle. La reine sourit, toujours de ses lèvres dont la couleur rouge souligne la sensualité. Le roi n’est pas en reste. Un cul après l’autre ! Tel doit être la devise de ce couple d’un soir, profitant de la candeur de ces deux Européens que Roger, manifestement complice leur a proposé. Mais qui à ce moment-là, dans le feu de l’action se plaindrait ? Pas Nadia, qui se laisse ouvrir par des mains puissantes, élevant ses jambes dans un V qui l’ouvre et la soulève, au point que le monarque d’un soir puisse se glisser en elle. Roger sait montrer ce qui excite. Que ce soit sa femme, celle d’un autre, une actrice porno, la rencontre d’un soir, le fantasme jamais réalisé, rien n’est plus fort. Malgré le clair-obscur de la pièce, le choc des couleurs domine. Cette queue sombre, noire, qui écarte des chairs blanches, des chairs que le soleil n’a jamais été ...
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