1. Echanges de mails entre hommes (2)


    Datte: 16/06/2019, Catégories: Gay

    ... regard. Nous arrivons à votre domicile et vous m’embrassez à perdre haleine. Vous me caressez en même temps les couilles, j’adore cette sensation. J’ai envie d’être votre jouet. Je vous le murmure à l’oreille. Une fois la douche terminée, je pense que nous allons dormir, mais je vois que vous préparez quelque chose. — Salope, ferme tes yeux. Vous me mettez un bandeau puis vous m’installez sur un objet en bois, ressemblant à un tréteau. Ce meuble met mon cul en évidence. Mes mains sont attachées et je ne peux bouger. Je sens une douceur glacée sur mes fesses. Vous m’avez ensuite doigtée, avec un, puis deux doigts, et après ce plaisir, vous m’avez baisée avec un gode fin mais long. Je ne peux résister à ce plaisir, et me laisse aller au désir de monsieur. Quand vous retirez le gode, j’ai senti votre grosse bite entre mes fesses. D’un coup vous me besognez sans ménagement, ma position vous excitant. Je sens dans quelques instants votre jus dans mes entrailles. Quand vous ressortez, vous me plantez un rosebud , à garder toute la nuit, avec ce jus en moi. A vous pour la suite Moi: Ma salope, Décidément tu me plais de plus en plus. On se couche, j’éteins la lumière, je te prends dans mes bras, te caresse gentiment, et on échange quelques mots avant de dormir: — Alors, tu as passé une bonne soirée? — Oh oui Monsieur, merci, c’était merveilleux. On ne m’a jamais ...
    ... aussi bien baisée. — Attends dimanche en huit, ça va être encore mieux! gjghhcw Tu te souviens alors de l’échange que j’ai eu avec le patron du sex-shop pendant qu’il te cassait le cul. Il organise des parties une fois par mois, dans sa boutique, le dimanche après midi, jour de fermeture. Tu aimerais en savoir plus: — Il se passe quoi dans ces parties? — Je te le dirais le moment venu, ce sera toujours assez tôt. Mais ne t’inquiète pas, tu vas aimer. Bon, maintenant on dort. On se tait et on pionce. Tu bosses le lendemain et tu dois te lever de bonne heure. C’est le petit matin, on est à cuisine, toi en petite tenue, le plug toujours enfouis entre les fesses, et moi à poil. Je te sers un petit déjeuner et je me branle pendant que tu te restaures. Il te reste un fonds de café et je te fais patienter avant de finir. Je m’astique la queue de toutes mes forces et je jouis dans ta tasse; de longues giclées épaisses qui te font un bon café crème. Tu bois tout et j’attrape un grand verre: — Je t’aurais bien donné un verre d’orange, mais je n’en ai pas, alors on va faire autrement. Je pisse dans le verre, jusqu’à le remplir, et te le tends. Tu le vides cul sec, et me remercies pour mes offrandes. Tu t’habilles pour partir, et je te dis que je t’appellerai le soir pour te fixer un autre rendez-vous, en attendant notre partie du dimanche. A toi ma pute A suivre...     
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