1. Les yeux de Suzy


    Datte: 16/06/2019, Catégories: ffh, extracon, voisins, massage, Oral pénétratio, jeu, couple+f,

    ... mais n’en a cure : elle se glisse entre ma voisine et moi et entreprend de me sucer. Elle m’aspire d’un coup puis, par petites pressions des lèvres et de la langue, remonte le long de mon membre. L’excitation aidant, je plonge la tête dans seins de Suzy. Je les lèche, les tète, en gobe l’aréole, en titille le téton. Notre voisine soupire, gémit discrètement : la fièvre se gagne. Je presse le visage de mon amie contre mes cuisses et ôte la jupe que Suzy portait encore. Sa culotte m’apparaît, telle que je pouvais l’imaginer : taille haute et bien couvrante. Mais qu’importe ! Déjà ma main se glisse sous l’élastique, masse le bas-ventre, se dirige vers le pubis. Je sens toute la chaleur et la moiteur de sa motte, la douceur de sa peau. Mon majeur s’insinue dans sa fente humide, à la recherche de son bouton secret. Isabelle quant à elle a ralenti ses va-et-vient. Elle ne me suce plus, mais me lèche doucement. Elle temporise pour faire monter encore la pression puis, me tirant le bras, m’invite à me coucher sur le dos. Je m’exécute. Elle m’enjambe aussitôt mais ne s’empale pas de suite : elle se flatte le clitoris sur le bout de mon gland. Je profite de cet instant de répit pour tendre les bras vers Suzy et lui chuchoter : — Viens sur moi, je vais te sucer. Ma voisine enlève sa culotte et m’enfourche, elle, juste au-dessus de ma bouche. J’ai à peine le temps d’entrevoir une toison foisonnante et grisonnante que j’ai déjà le nez dans de troublantes intimités. Un subtil mélange de ...
    ... musc et d’effluves de savon se dégage de sa chatte : Suzy sent bon l’animal, mais un animal entretenu et propret. De la langue, je cherche à ouvrir ses lèvres, à débusquer son clitoris. Elle m’aide, en décollant les pans de ses trésors charnus. Un goût âpre s’accroche à mes papilles, pendant que le bout de ma langue bute contre son bourgeon. Je l’emprisonne, je le libère. Je le bouscule, je l’effleure. Je le suce, je le mordille. Je le mange, je le bois. Je le sens enflé, dur, plein à craquer. Suzy gémit sans retenue. Pendant ce temps, Isabelle s’est empalée sur moi. Elle s’enfonce et remonte en de larges mouvements élastiques. Elle m’aspire et me refoule régulièrement, comme un piston. Puis, peu à peu, à la manière d’un ressort qui se comprime, elle diminue l’amplitude des va-et-vient, en augmente la cadence. De seconde en seconde, le tempo s’accélère. Elle rythme sa respiration de mots soufflés, de «Oh oui », de «C’est bon », ou de «Encore, encore ». Elle devient un diapason qui vibre, qui vibre, qui m’attire et me tient à distance, qui vibre, vibre, vibre… jusqu’à l’éclatement, jusqu’à la note ultime, jusqu’à notre jouissance commune. Je me laisse aller dans un profond râle ; Isabelle se raidit, lance un long cri dans les aigus puis, dans une cacophonie d’émotions, retombe en de furieux coups comme le battement sourd d’une grosse caisse. Le vacarme des sensations peu à peu éloigné, elle se dégage de moi, se couche à mes côtés et caresse alternativement nos sexes. Tout à mon ...