1. La traite


    Datte: 16/06/2019, Catégories: fh, couple, hsoumis, fdomine, humilié(e), confession,

    Seul, je ferme les yeux, et je m’imagine encore à sa merci : Ma femme, superbe, mais égoïste, elle mélange son métier et notre vie intime. Je suis devenu son amant, sa chose, elle m’élève et me dresse. Un après-midi, lendemain d’une soirée torride durant laquelle je me suis complètement livré, je lui obéis, et elle agit. Dans le salon, volets ouverts, elle m’attend. Elle me regarde, m’inspecte et attend en silence. Elle attend que je sois prêt à la servir et à assouvir ses besoins. — Découvre-toi ! J’attends, dépêche-toi ! Je te veux tel que tu me l’as promis. Je m’exécute, je me déshabille délicatement, déboutonne la chemise, l’enlève sous ses yeux insistants, dégrafe ma ceinture, dezippe ma braguette, laisse tomber aux pieds mon pantalon. Son regard se fait amusé par mon hésitation, un léger rictus ironique amplifiant cette attitude troublante qui me donne des frissons le long du dos. Elle connaît mes penchants pour le sucré-salé, pour les caresses-griffures, pour le plaisir-douleur. Elle sait que parfois je me soulage en regardant des vidéos SM, en lisant des récits d’homme soumis. — Déjà excité, mon chéri ? Presse-toi, j’ai du travail ! Dans sa blouse blanche je devine sa nudité, ses seins lourds aux aréoles très marquées. Ses seins qu’elle aime me laisser humer avant de les sucer. Je devine ses aisselles lisses et odorantes que j’aime goûter pour son plus grand plaisir. Son dos, tant sensible à mes ongles, qu’elle exhibe en préliminaires à nos ébats. J’imagine son pubis ...
    ... soigné, taillé par mes soins, et parfumé de son odeur. Je me souviens des minutes que je suis obligé de passer à lui épiler les lèvres et la raie. Aux coups de ciseaux que je porte à ses poils pubiens tellement frisés. Je revois sa chatte chaude et humide et je revis ces moments où elle m’oblige à lui adoucir la peau de ma salive, elle adore ma langue râpeuse sur sa peau. Elle s’énerve de sentir mon souffle haché entre ses jambes. Je continue à m’effeuiller, j’abandonne ma chemise qui tombe doucement, je dégage mon pantalon, je le laisse glisser le long de mes jambes, finissant d’habiller mes chevilles. — Dépêche-toi ! Hésitant, je dégage mes chevilles, je descends doucement mon boxer, dévoilant ainsi ma toison subtilement taillée, je libère ma verge déjà à demi tendue, je dégage mes bourses glabres et pendantes. J’attends ainsi ses désirs, et ses envies. — Bien, parfait, approche-toi. Je m’exécute d’un pas, trahissant mon indécision. — Bon, tu te souviens que nous l’avons décidé ensemble ?— Oui, chérie, mais…— D’accord, écarte tes jambes, et présente-moi ton gland. J’attrape ma bite de la main droite et lui présente mon gland, en remontant fortement la hampe. Ma main enserre comme un fourreau ma virilité, et je redresse mon torse pour éviter le frisson qui commençait à pointer. — Fais-la bander, branle-toi, sinon tu sais que tu auras trop mal. Je me masturbe sous ses yeux, je serre et je desserre l’emprise de ma main, je titille mon prépuce, je caresse mes bourses de ma main ...
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