1. Baise en rêve, baise de rêve (3)


    Datte: 17/06/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... que je vienne l’honorer... je vais rattraper ça. Maintenant. Je me déshabille complètement, ma sœur n’en est que plus impatiente, ne fait aucun commentaire, se jette même sur ma bite (que je n’ai jamais rasée). C’est à son tour de donner des coups de langue, qui tournent autour de mon gland dressé, pendant qu’elle découvre dans ses mains la bite de son frère. Elle se met à genoux, la mignonne. Elle a raison, elle a tellement envie de moi... et j’ai tellement envie d’elle. Je ferme les yeux. Elle commence à me sucer la bite, sa salive chaude me transmet une sensation si agréable... je rouvre les yeux sous l’effet du choc, c’est mieux qu’en rêve, mon corps tout entier se tend quand ses lèvres passent lentement sur mon gland... c’est si sensible je ne peux que rouvrir les yeux. Et j’en profite pour agripper le short de nuit de ma sœur, caresser sa raie... je tire le tissu, moulant ses fesses... je n’y tiens plus... — J’aime ta bite, Eric. Tu aimes comment je suce ? Pour toute réponse je lui attrapai ses longs cheveux châtains, plongeai mon regard dans ses yeux verts un bref instant, puis l’embrassai comme si ma vie en dépendait. — Ce que je vais aimer surtout, c’est te baiser. Tu es ma sœur, et j’ai tellement envie de te baiser, tu peux pas imaginer ! Montre-moi tes fesses, un peu... — Prétentieux, va ! Fit-elle dans un éclat de rire, en se retournant dos vers moi. C’était génial. Je me sentais fort, je prenais l’ascendant, c’est comme si ma sœur m’avait vu en rêve me faire ...
    ... dominer, et qu’elle me rendait maintenant la politesse. Elle joue tellement bien la docile, et elle en est fière... je vais rabattre son caquet à cette petite nympho. Je baisse d’un coup son short, mettant à ma portée ses petites fesses. Je lui mets une petite fessée comme ça, juste histoire d’entendre le petit "clac !" et son petit couinement. Je plonge entre ses fesses, lèche sa chatte et son trou comme elle m’a léché. Je la veux tellement, plus encore que le fantôme que j’ai adulé précédemment. Je fouine, lèche, renifle. Pas inactive pour un sou, elle m’encourage de la main à lui toucher sa chatte. Elle me guide en me tenant le poignet, et une fois que mes doigts passent parfaitement sur sa fine couche de poils elle tente de caresser ma bite au garde-à-vous. C’est qu’elle veut se faire empaler ma salope de sœur ! Ni une ni deux, je prépare son antre pour le pénétrer, et j’enfonce ma bite, lentement, à son rythme, je m’y reprends à plusieurs fois. Rien de grave ; tôt au tard, je vais réaliser son envie... et la mienne. Elle se penche bien, me permet enfin l’accès, et je me colle à elle. Mes jambes sont soudées aux siennes, et je garde ma main au-dessus de sa chatte, caressant selon ses cris. Je suis dans ma sœur, putain. C’est tellement fou. La sensation vraie, de la chair, du corps. De ses jambes qui se referment, renforçant l’emprise de son sexe sur le mien. Ou bien est-ce l’inverse. Ma sœur crie, elle m’en demande encore. Sa main maintient la mienne sur son abricot. Je me ...