1. Agathe, le week-end à la mer (2)


    Datte: 17/06/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... vigoureux. Paraît-il, que d’après la célèbre chanson de Renaud, que la mer, c’est dégueulasse, car les poissons baisent dedans. Et bien… nous aussi ! Et nous n’étions visiblement pas les seuls dans ce coin là… Tout en me faisant baiser par Agathe, je regardais d’autres femmes, parfois seules, et j’espérais attraper leur regard afin qu’elles nous voient. Je prenais beaucoup de plaisir et j’avais envie qu’une d’entre elle vienne se coller derrière moi, pour sentir ses seins dans le dos. Ça ne se produit pas et je me concentrait davantage sur Agathe que je soutenais par les fesses pour guider ses vas-et-vient qu’elle faisait à merveille. Le sol étant par nature instable, l’eau et le sable vous faisant vous enfoncer si vous ne bougez pas, nous n’arrivions pas à l’orgasme tout de suite. Agathe était un peu fatigué et quittait mon sexe pour nager un peu. Je la suivais car je voulais finir dans son vagin. Elle décida de faire la Femme et s’enfuyait pour que je ne lui saisisse pas les hanches. C’était amusant mais je fini par la rattraper, Agathe me mis la tête sous l’eau pour me ...
    ... repousser, puis me rapprocha la tête de son pubis. Je décidais alors, avec le peu d’air que j’avais en moi, de débuter un cunnilingus. Elle ne s’y attendait pas mais je continuais, tout en revenant à la surface régulièrement pour reprendre de l’air. Notre petit jeu continua encore quelques minutes, elle fit de même en me suçant la verge sous l’eau. Tout ça était très excitant. La vue d’autres corps nus rajoutait du désir, de l’envie sexuelle. Je repris Agathe par les hanches et la pénétrait alors pour rapidement jouir en elle. Nous sommes ensuite revenus vers nos serviettes et ma queue avait durci à nouveau. Je suivais Agathe et me délectait de son cul qui me donnait à nouveau envie. Étant sur une plage naturiste, et non dans une boite échangiste, nous restions discrets, mais pas forcément trop sages non plus. Elle s’était endormie mais je n’avais pas la tête à dormir. Je profitais de toutes ces femmes que je pouvais regarder. Certaines n’appréciaient pas mon regard, je les laissais alors tranquilles mais je continuais à en mater d’autres qui étaient franchement gâtées par la nature... 
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