1. La directrice-adjointe


    Datte: 17/06/2019, Catégories: fplusag, extracon, Collègues / Travail fdomine, Oral pénétratio, extraconj,

    ... ostensiblement sa robe sur ses jambes croisées. Voyant ce geste, Antoine se souvint alors de ces moments où, lorsqu’ils étaient face à face dans le même bureau, elle jouait avec ses nerfs en lui exhibant ses jolies cuisses. Mais aujourd’hui, les choses étaient bien différentes. Non seulement il avait déjà possédé cette jolie femme, songea-t-il non sans orgueil, mais en plus elle le branlait régulièrement ! La directrice-adjointe aborda alors le thème du travail et s’enquit de savoir si Antoine s’en sortait bien maintenant qu’il travaillait seul. Il lui répondit, avec impudence, que tout allait bien et que tout cela était somme toute assez simple. Puis, soudain à court de conversation, un silence s’établit entre eux. Mais si leurs voix ne résonnaient plus dans la pièce, leurs regards en revanche ne cessaient de se croiser. Elle aimait à se perdre dans ses yeux noirs, tandis que son regard à lui allait des yeux d’Agnès à son décolleté et de son décolleté à ses jambes, si joliment mises en valeur par d’élégants petits escarpins. C’est à ce moment-là que la directrice-adjointe retrouva soudain son instinct de perverse. Elle décroisa lentement les jambes, ouvrit le compas de ses cuisses et releva complètement sa robe. Antoine, découvrant soudain que sa patronne ne portait pas de culotte, eut d’abord un regard exorbité par la surprise, puis il se mit à sourire béatement, comme si un ange lui était apparu. — Co… comme vous êtes belle ! balbutia-t-il.— Va donner un tour de clé, lui ...
    ... ordonna-t-elle ! Il alla précipitamment verrouiller la porte d’entrée et revint vers elle aussitôt, comme s’il eût craint de manquer une seule seconde du spectacle. — Déshabille-toi maintenant, fit-elle, toujours sur un ton autoritaire. Antoine obéit avec un enthousiasme évident et il ne lui fallut pas plus de vingt secondes pour se retrouver nu devant elle, la verge déjà à l’horizontale. — Approche, lui fit-elle avec une voix plus douce. Il s’avança de quelques pas et lorsqu’il fut près d’elle, elle saisit son membre bandé. Peu à peu, elle se mit à le masturber, tout en guettant ses réactions. Antoine profita de l’instant en fermant les yeux. La douce main d’Agnès, glissant comme une caresse le long de sa verge, lui procurait des sensations extraordinaires. Son excitation monta très vite et un violent désir s’empara bientôt de lui. Il se dit alors que ce jour-là, il ne pourrait sûrement pas se contenter d’une simple branlette, qu’il lui faudrait quelque chose de bien plus excitant ! Après sa petite exhibition, il sentait Agnès plus disponible, bien plus ouverte que d’habitude, alors il avait l’intention d’en profiter pour « pousser ses pions ». De sa position assise (dans son fauteuil bas), la bouche d’Agnès se trouvait exactement à la hauteur de la verge d’Antoine, aussi en profita-t-il pour s’approcher un peu plus près d’elle, jusqu’à ce que son gland turgescent vînt presque toucher les lèvres de la belle. Elle continuait imperturbablement sa masturbation, sans se méfier le ...
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