1. Berlin, son histoire, ses vices 7


    Datte: 28/08/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... pousse le vice à attraper Isabelle par ses cheveux et l’obliger à me lécher la moule tout en étant fustigée à coups de cravache. Isabelle me fixe, tout sourire avant de plonger en mes entrailles avec sa bouche pulpeuse. Une semaine après, Monsieur Alain est là, derrière les caméras de Maître Heinz. Je suis nue, en laisse, laisse tenue par ma belle Béa. Je débarque d’un minibus, en tant que chienne de ma Maîtresse, alias Béa. Devant nous, à la porte de cet imposant manoir, Maître Heinz joue le dresseur de chienne. La chienne, c’est moi. À peine à l’intérieur, je dois me soulager, pisser sur le carrelage magnifique de cette entrée. Maître Heinz découvre alors mon insoumission et me fouette à l’aide d’un martinet fantaisie. Coupez s’écrie Monsieur Heinz. Sur ma croupe, mon dos, on se presse à me faire les marques d’un vrai martinet. Puis, la scène reprend. Je change, deviens peureuse, craintive devant cet homme intransigeant. Béa est même giflée parce qu’elle incapable de me dresser. Dans mon cul, mn vagin, il glisse, dans l’un, un gros plug qui me fait un mal de chien et dans l’autre un vibromasseur guidé à distance. Puis, il me fait monter sur une chaise, face contre le dossier et à genou. J’expulse alors le plug de mon cul. Il me le remet de force en me le cadenassant d’une chaine. Dans la scène suivante, je dois encore uriner. À cette seule fin, je dois boire énormément d’eau. Pendant que je patiente sur un siège, Maître Heinz s’occupe de Béa, lui montrant, sur elle, ...
    ... comment éduquer sa chienne. Monsieur Alain s’approche de moi, me caresse mes seins. - Tu sais le contenu de la scène finale, ma belle ? - Oui Maître, Maître Heinz l’a complètement réécrite. Béa et moi, sommes longuement punie par lui et une autre personne dont je ne connais pas l’identité. - En fait, ils ne seront pas deux, mais trois. Oui ma belle, la seconde est ta Maîtresse et le troisième, ce sera moi. - Vous, mon Maître, me punir. La joie m’étreint, Monsieur Alain. Maintenant, j’ai une excellente raison pour vous appeler définitivement Maître. - Tu peux car, une autre nouvelle et une bonne, que dis-je, une excellente nouvelle. Le siège fait actuellement construire un nouveau centre, ici, à Berlin. Du coup, j’en prends la direction. Et là, en pleine scène, je pousse un hourra qui stoppe tout. Monsieur Alain me gifle pour avoir crié. Humble, confondue dans mes excuses, je me pose au sol, attendant ma punition. Sauf que mon Maître, Monsieur Alain, me promet une cinglante scène finale. Le simple fait d’entendre ses propos, me met en trance. Je ne mouille pas, j’inonde le sol, sous moi. Les scènes ses succèdent toutes la journée. Une dernière scène se déroule dans un vaste lit. Je suis de corvée, léchant, suçant le vit de Maître Heinz, de son extrémité jusqu’à son cul dont il a eu la délicatesse de ne pas trop rendre propre. Dans mon cul, une large et long gode me le pourfend. C’est Béa qui m’encule sauvagement, brutalement quand elle me fesse d’une petite cravache. Je ne dois pas ...
«12...456...»