1. Tu l'as cherché 13


    Datte: 18/06/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Tu l’as cherché 13 A l’image du premier jour de la tournée, le deuxième me rapporte les éloges de mon beau-père. Le message de Doris est rassurant, selon mes prévisions Alain est fidèle. J’ai recours cette fois à mes doigts pour compenser le manque dû à l’absence de mon mari. Le soir du troisième jour surgit un problème. L’hôtel a mal saisi la date de la réservation, et ne dispose plus que d’une grande chambre. Le personnel propose de séparer les deux lits accolés de 90 cm chacun, par un paravent : la patronne a forcément remarqué la différence d’âge. Elle connaît Gérard , sait que nous ne vivons pas en couple. Contrarié mon beau-père s’inquiète de savoir si l’arrangement peut me convenir. Que faire. Nous sommes adultes, nous saurons nous tenir. Nous voilà couchés de part et d’autre du paravent, un rayon de lune éclaire faiblement la chambre. Il n’est pas possible de jouer avec mes doigts dans ce contexte. Mon smartphone tremble, tout va bien à la maison. - C’était Alain ? Demande le père. Ça va, il pense à toi tous les soirs. Ah ! Le brave mari. Tu dois lui manquer, hein ? Patience tu le retrouveras bientôt. C’était Doris. Je ne juge pas utile de détromper Gérard. Il a envie de parler ce soir. Je ne suis pas seule à trouver le temps long. - Dis-moi, Lucie, Alain m’a raconté votre visite au « flamand rose ». L’y as-tu vraiment accompagné ? Cela ne t’a pas trop scandalisée ? C’était quel jour ? - Le samedi, il y a quinze jours. La visite a été brève. Je l’ai écourtée. - ...
    ... Vraiment . Alain m’a dit que vous étiez passés par le « tunnel » après le passage par le bar. As-tu apprécié ? Il est bien curieux mon beau-père, et bien renseigné. Il semble aussi connaître l’établissement. Cela ne me paraît pas invraisemblable. D’ailleurs il m’en parle facilement. Je tombe des nues. Mon père, ma mère, ma belle-mère et lui-même y étaient également le samedi 14. Il a même eu une agréable surprise. Une jeune inconnue, sans doute une novice, lui a procuré un plaisir spécial, inégalé. Les habituées foncent d’ordinaire vers les salles suivantes ou vers la piscine. Or le hasard s’est montré généreux. La fille a commencé par caresser le sexe de Gérard en hésitant, avant de l’embrasser puis de le prendre en bouche. Un homme l’encourageait et elle s’est mise à sucer, à faire aller et venir entre ses mâchoires un peu tremblantes « la grosse » qui dépassait de la paroi. Généralement les libertines s’amusent un peu et continuent leur route mais ne terminent pas la gâterie : - Ce n’était pas une habituée; elle y a mis tout son cœur et toute son énergie. Je donnerais beaucoup pour la retrouver. Elle y mettait une telle ferveur que moi, vieil habitué, je me suis laissé partir et je lui ai rempli la bouche. Ce n’est pas un récit pour enfant. Pourquoi mon beau-père me fait-il cette confidence osée ? Il est friand d’histoires grivoises, quand il est avec d’autres hommes, mais ici, avec moi, sa bru, il me surprend par l’audace des détails. Alain a raconté, mais est-il entré dans les ...
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