1. De l'influence de mon gynéco sur mes rêves érotiques


    Datte: 18/06/2019, Catégories: f, fh, médical, cérébral, revede, fgode, fdanus, jouet, journal,

    ... s’arrêter ? Est-ce parce que je suis enceinte qu’il m’ouvre la chatte en grand, ou est-ce qu’avant il y renonçait tellement j’étais crispée ? — Sincèrement, je me souviens très bien de vous, embraye-t-il. Il est rare de voir une femme de 20-25 ans aussi tétanisée qu’une fillette que j’ausculte pour la première fois. Que vous est-il arrivé pour être si décontractée ? La molette ne tourne plus. Elle doit être au max. Je me sens béante, limite douleur. Je le vois avec appréhension préparer la petite spatule en bois. — Docteur, c’est long à expliquer. Depuis deux ans, c’est comme si la case du sexe s’était ouverte dans mon cerveau. J’étais hyper-coincée, maintenant je m’éclate. Un nouveau sourire éclaire son visage tandis qu’il enfonce et retire la spatule. — Vous avez eu un rapport sexuel il y a peu de temps, je vois, dit il en l’inspectant.— Hier soir, Docteur. Vous voyez, je rattrape le temps perdu, ajouté-je en riant.— Cela ne fait rien. Je vais recommencer. Rebelote. Cette fois, il paraît satisfait et me retire le spéculum. — Bien. Je vais profiter de vos bonnes dispositions pour vous faire un toucher vaginal poussé. Avez-vous bien vidé votre vessie ?— Oui, c’est fait. Vous pouvez y allez, Docteur. Écartant mes petites lèvres, il enfonce deux doigts gantés enduits de gel puis il se met à farfouiller dans ma chatte très professionnellement tout en appuyant sur mon bas-ventre de l’autre main. J’essaie de rester de marbre.« Cool, ma poule. » La palpation se prolonge ; je sens ...
    ... que quelque chose ne va pas. — Je n’arrive pas à bien sentir votre col. Vous êtes grande et primipare ; vous avez un vagin étroit et long. « Primipare ! Quel mot animal. Les autres, on les appelle comment ? » Je n’ai pas le temps d’y réfléchir. Le voyant renduire sa main gantée d’une nouvelle et grosse couche de gel, je commence à gamberger. Mon imagination fertile me joue des tours. Je pense à Ayaan qui m’avait enfilé sa main jusqu’au poignet. Une main beaucoup plus fine que la grosse paluche du docteur. — Vous… vous allez m’enfoncer votre main entière ? balbutié-je paniquée.— Non ! Pas ma main entière, répond-il en souriant ; deux doigts suffisent, mais je vais vous pénétrer profondément. Si je vous fais mal, vous me le dites. Le mal, il est fait ! Pas physiquement, mais psychiquement. Une boule de chaleur m’envahit le ventre. Mes bouts de seins se dressent, ma chatte se liquéfie. Il s’approche. Sa main gauche se pose sur mon bas-ventre, appuie fortement, ce qui a pour effet de tirer ma vulve vers le haut, de dégager mon minuscule bouton de ses replis. « Punaise, mon clito doit pointer comme une tige. Il va se rendre compte que je suis excitée… Il va me prendre pour une cinglée, une nympho. » Je ne peux que subir. Je suis offerte à ses doigts gantés qui, gel aidant, me pénètrent au plus profond et se mettent à farfouiller dans mon intimité. Le cher docteur veut atteindre son objectif, tout savoir sur mes organes internes et m’examine sans le moindre ménagement. La sensation ...
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