De l'influence de mon gynéco sur mes rêves érotiques
Datte: 18/06/2019,
Catégories:
f,
fh,
médical,
cérébral,
revede,
fgode,
fdanus,
jouet,
journal,
... l’enfonce à fond, écarte… écarte… jusqu’à me sentir fendue en deux pour effectuer le petit prélèvement obligatoire. Quelques instants plus tard, à peine remise de ses émotions, ma chatte voit une main gantée luisante de gel lubrifiant s’approcher… Le jeune docteur me plonge deux doigts ; j’essaie de penser à autre chose, mais ma chatte aime. Elle aime encore plus quand il les bouge dans tous les sens ; il écarte, en rentre d’autres. Plus c’est gros, plus elle aime ; elle les veut tous, et tout au fond dans ses profondeurs brûlantes. Elle est ravie, comblée ; elle en bave de plus en plus en émettant des bruits de succion… Un vrai flot de mouille s’en échappe et commence à inonder le siège. Le docteur n’en a cure. Son autre main appuie fortement sur mon bas-ventre et il me glisse un dernier doigt. Cela fait quatre ! Qu’il groupe en cône pour m’ouvrir encore plus. La pression se fait intense et sa main disparaît dans mes profondeurs jusqu’au pouce… qu’il pose sur mon clito ! Ce n’est pas possible… Il voudrait me faire jouir qu’il ne s’y prendrait pas autrement… Heureusement, il retire sa main. Ma chatte est frustrée ; moi, je respire mais le répit est de courte durée. Il m’annonce : — Le docteur a inscrit sur votre fiche que vous pratiquez la sodomie. Si cela ne vous fait rien, je vais vérifier l’état de votre anus par un toucher rectal. Vous savez, c’est un endroit fragile, et… bla-bla-bla. « Punaise, mon bon vieux docteur n’a jamais osé me faire ça ! » Rebelote côté anus. Il ...
... me rentre un doigt tellement enduit de gel qu’il rentre comme dans du beurre. Il palpe mes sphincters en le tournant dans tous les sens, à la recherche de la moindre petite anomalie, de la micro-fissure jusqu’à la petite hémorroïde ; puis, ne décelant rien de spécial, m’en glisse un second. — Essayez de serrer mes doigts, Madame, que je puisse vérifier l’état de votre périnée. J’obtempère sans exagération. Pourquoi lui dévoiler mes talents intimes ? — Ce n’est pas ce que je croyais, dit-il en s’excusant. Vous n’avez pas l’air d’avoir besoin de vous muscler. Pourtant, sur votre fiche, le docteur a également noté « Kegel » ; je ne comprends pas. Vous permettez que je vous fasse passer un test ? Sans attendre ma réponse, il me sort un truc bizarre genre saucisse de Francfort prolongée par un câble qu’il branche sur un micro-ordinateur pourvu d’un cadran. — C’est une sonde munie de capteurs qui enregistrent la pression de vos muscles, m’explique-t-il. Rassurez-vous ; je ne vais pas l’introduire dans votre anus, mais dans votre vagin. Vous allez essayer de la comprimer. Je pose une petite question innocente : — C’est quoi, la norme sur votre cadran ?— Il est gradué jusqu’à dix. Les femmes qui ont besoin de rééducation ne dépassent pas 2 ou 3. La normale, c’est 6 à votre âge. Les jeunes femmes sportives arrivent à 7, voire 8. Je ne mets pas de gel, vous n’en avez pas besoin. Pervers et ironique, en prime… Je vais le renvoyer à ses chères études. Même impression que s’il m’enfonçait ...