1. Amours saphiques


    Datte: 18/06/2019, Catégories: ff, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, intermast, Oral fgode, double, fdanus, piquepince,

    Il est huit heures trente. Nous sommes affamées et hilares ! Encore un peu soûles d’avoir tant bu toute la nuit, encore enivrées de musique… mais il fait beau et le ciel printanier nous sourit. On prend des croissants chauds, du pain frais et des huîtres sur le marché, une bouteille de vin pour la fin d’après-midi et on ne rêve que d’un café… Je la bécote dans l’ascenseur, hume son parfum… Je n’ai envie que d’être contre elle. Nous sommes rentrées. Je lui propose de se doucher tandis que je me propose de préparer le petit déjeuner. Mais non… je la serre dans mes bras, je picore des baisers dans son cou, je goûte ses lèvres si douces, je m’emporte déjà et je laisse mes mains s’égarer sur son corps. Forcément, mes mains fouineuses se sont insinuées sous son pull. Forcément, il y en a une qui a cherché à la débraguetter, avec succès d’ailleurs ! Et du coup me voilà avec un sein palpitant en haut et une chatte brûlante en bas. Mes sens s’affolent et ma bouche ne se rassasie pas de sa peau, de son goût, de sa douceur. Elle m’enivre… Comme nous sommes dans le salon, je la coince contre la huche à pain de son arrière-grand-mère, elle nous sert de bar… (la huche, pas l’arrière-grand-mère), et je la déshabille fébrilement, affamée d’elle que je suis. Elle halète dans mes bras, s’offre si indécemment… Elle m’accueille et je ressens par toutes les fibres de mon être, tout l’amour qu’elle me porte… Elle est si belle, mon aimée, ses seins sont si doux… ! Je fais rougir ses tétons, les ...
    ... titillant et les agaçant de mon piercing au bout de ma langue. Comme je les masse, caresse, je les fais reluire, ces petites fraises, sous mes paumes. Comme elle se pâme, toute à son plaisir… Je butine son ventre doux et plat avec adoration, j’effleure ses flancs avec ma bouche avide, mes mains fureteuses, ma langue aussi… Mais toujours, je reviens à ses seins que j’aime tant. Ils sont si sensibles… L’entendre gémir m’excite et je sens une chaleur dans mon ventre, je deviens eau et inonde mes cuisses ! Elle me liquéfie… ! Inexorablement, je me rapproche de son intimité. Ses fesses sur le bar se sont soulevées lorsque j’ai tiré sur son pantalon, les chaussures, les chaussettes et le slip ont valsé. La voilà, les jambes repliées, les talons contre le cul, largement ouverte et offerte, le regard brillant et le souffle court. Une seule espérance, un désir fou : que je me jette sur sa chatte chaude et trempée, que dis-je ! Dégoulinante ! Ruisselante ! Je pose mes mains de chaque côté, à l’intérieur de ses cuisses… et je la lutine, caressant tendrement chaque centimètre carré de sa peau, je goûte son désir, son impatience. Enfin, je lèche ardemment son con qu’elle me tend. Ô oui, merveille ! J’aspire ses nymphes, baise son petit clito, suce ce petit bout de chair… Comme il tourne sur ma langue, mon piercing s’affole autour de lui, je le suce comme on suce un pénis ! Avec gourmandise… Elle jouit fort, elle se cambre, vient sur ma bouche tendue, la respiration courte ! Ma langue, quelle ...
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