1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 696)


    Datte: 19/06/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... étranglé, il sentait et voyait ces coups de bite lui démolir le cul, lui provoquant de bien terribles excitations mentales. Asservi, chevillé par son trou de catin, secoué par le rythme que le Maître lui imposait, mais nullement accablé, Endymion MDE se découvrait, face à cette image, sa propre image de lui-même, reflétée depuis cette glace ! Et cette scène l’excitait grandement mentalement et physiquement. - Tu n’es qu’une salope à tringler ! confirmait le Maître L’esclave MDE se voyait hocher de la tête de haut en bas pour confirmer les dires de Monsieur le Marquis. - Un garage à bite, une videuse de couilles… Haletant, gémissant, toujours devant ce miroir reflétant son image asservie, Endymion MDE se vit onduler les reins, tel un appel à la bite, avec obscénité pour manifester toute son envie de se faire plus encore emmancher. Le Maître lui attrapait la base de sa chevelure, s’y cramponnait pour le faire se cambrer toujours plus. - Tu n’es plus qu’un enculé ! - Oui Maître, lui répondit-il en subissant une nouvelle poussée sauvage et bestiale Monsieur le Marquis menait cette sodomie à Sa seule convenance, selon Ses lubies, seulement attentif à Ses envies, à Son propre tempo. L’esclave MDE se voyait subir cet assaut, il se voyait, toujours devant ce miroir, secoué et réduit en une femelle en rut ! Le Maître lui ravageait son trou, le tronchait, le niquait, n’avait aucune pitié, ne lui offrait aucune tendresse, ne lui accordait nul répit. Il le pistonnait, culbutait, rabotait ...
    ... furieusement, avec sa bite en furie. Endymion MDE ne pouvait que gémir, ahaner, râler, couiner comme une truie, hors de tout langage articulé : le plaisir primaire, à l’état brut, à l’état cru, absolu, intense… Comme un automate, l’esclave MDE se laissait guider, ses hanches captaient cette bite, accompagnaient ses heurts de râbles syncopés, lents, rapides, s’accélérant, ralentissant. Il n’avait plus la force de s’opposer à cette furieuse enculade. Tout son corps était prisonnier, ses reins creusés, ondulants frénétiquement, comme si lui-même menait la danse. Alors le Maître se figea, logea sa bite au plus profond de ses reins et éjacula longuement, copieusement en râlant sauvagement tel un cerf en rut et resta ainsi bien planté profondément un long moment dans un divin silence, marquant ainsi Sa totale possession… - T'es vraiment une salope, juste bonne à tailler des pipes et à te faire enculer ! Le Maître se retirait, attrapait Son esclave par les cheveux, le regardait longuement, droit dans les yeux et lui dit : - J’espère qu’avec lucidité, tu as compris ce que tu es devenu, ce que tu es tout simplement et surtout ce que tu as besoin pour continuer à être ce que tu es. Le visage défait, les yeux remplis de larmes de joie, l’esclave MDE remercia chaleureusement mais humblement Monsieur le Marquis d’Evans. - Humblement merci Vénéré Maître, je vous ai fait don de tout mon être, en toute confiance, sans compter, miséricordieusement et non égoïstement et non parcimonieusement… ...
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