Quand Margot devient chienne 23
Datte: 28/08/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Première fois
... es mon amie. Et bien sur que je suis Margot. C’est juste que comme modèle je suis Perle. C’est « BHV » qui m’a baptisée ainsi. Il a voulu que j’ai un pseudo et je n’ai pas souhaité le contrarier. Et puis, Perle, c’est joli tu ne trouves pas ?- Euh … Si bien sur c’est joli. Mais la situation était troublante tu ne crois pas ? Et puis surtout tu aurais pu me mettre au courant si je suis ton amie.- J’avoue que je n’y ai vraiment pas pensé. C’est devenu tellement une habitude que je n’y pense même plus. Je réponds aux deux prénoms sans distinction. Je suis vraiment désolée Anne chérie, je te prie de m’excuser, j’espère que tu ne m’en tiendras pas rigueur.- Tu as de la chance que je t’aime toi ! Bien sur que tu es pardonnée mais ne me refais plus un coup comme ça, hein !?- Promis, juré, craché !Les deux copines finirent le chemin en rigolant et en parlant de choses et d’autres. Puis Anne revint sur la journée du lendemain qui lui donnait quand même un peu le trac. Margot fit son possible pour la rassurer en lui disant ce qu’elle aurait approximativement à faire.Malgré tout, la nuit fut plutôt courte pour Anne. Elle tournait et virait sous sa couette sans réussir à trouver le sommeil. Elle avait beau se dire que ce n’était pas la mer à boire. Qu’il suffisait de rester immobile quelques instants dans une certaine position. Bon d’accord, il faudrait peut-être que je sois à poil, mais bon, sur la plage en été je ne me pose pas toutes ces questions, alors ! Et puis Margot m’a ...
... expliqué. C’est quand même pas sorcier. Et Margot sera là aussi, alors pas de danger. Enfin Margot, disons Perle. Ah cette Margot, elle m’en aura fait voir quand même. Perle. Cela fait bizarre tout de même. Je suppose que je vais m’y habituer. Mais comment je vais l’appeler moi ? Margot ou Perle. Margot des villes. Perle des champs.Anne finit par s’endormir, mais la nuit était déjà bien entamée.Il faisait déjà presque chaud lorsqu’elles arrivèrent au château. Le printemps était là. Sur le parking où Margot stoppa la voiture, elles furent accueillies par une multitude de chants d’oiseaux qu’elles avaient bien du mal à apercevoir, tant la nature renaissait en de verdoyantes pousses recouvrant les rameaux de l’année.Tout comme la veille c’est le « croque-mort » qui leur ouvrit la porte. Mais là, Margot avait pris soin d’avertir Anne auparavant afin qu’elle n’eut pas un mouvement de recule en voyant le phénomène.En rigolant comme deux collégiennes arrivant au pensionnat, elles grimpèrent les marches de la tour qui les emmenaient dans l’atelier du Maître. La pièce était déserte. Il y faisait bon. Nul trace de chauffage, sans doute le soleil à travers les vitres faisait déjà son œuvre. Margot se dirigeât instinctivement vers le paravent où elle se déshabillât intégralement aussitôt, sous les yeux un peu surpris d’Anne qui hésitait à la suivre.- Ben alors, tu ne viens pas ?- Euh … Si, si, j’arrive. Mais tu ne crois pas que je devrais attendre « BHV » pour qu’il me dise quoi faire ?- Ah. ...