1. L'inconnue du train corail


    Datte: 19/06/2019, Catégories: fh, fplusag, fagée, train, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Masturbation nopéné, confession,

    Jamais je n’aurais pensé que trois heures et demie de train sur une ligne de province seraient l’occasion d’une nouvelle expérience. Clermont-Ferrand – Paris, une avant-veille de Noël, quand on embarque à 18 heures, je peux vous dire que le train est plutôt vide. Profitant des réductions, aujourd’hui je me suis offert une première classe ! Je m’installe donc, tranquille, dans un compartiment, dans une voiture aux trois-quarts vides. Je m’étale, je ne suis pas dérangé. Les gares défilent les unes et après les autres, Riom, Vichy, Moulins : je suis toujours seul et commence à somnoler. J’ai fait un oreiller de mon imperméable et j’en écrase. J’entends vaguement les haut-parleurs annoncer Nevers, ce qui ne me réveille pas. Le train qui redémarre me berce. Mais voilà qu’un autre voyageur entre dans le compartiment. Je me réveille, m’assieds, remets mes chaussures. — Ne vous dérangez pas pour moi, me lance une voix haut perchée et un rien aristocratique. Et je détaille sa propriétaire, déjà installée en face de moi. 60 ? 65 ? 70 ans ? Difficile à dire, la dame s’entretient bien. Blonde avec des yeux d’un bleu azur. Jupe plissée grise tombant sous les genoux. Chemisier blanc. Colliers de perle. Du strict, de la classe avec des tonnes de charme. Bien sûr, elle n’est pas toute jeune mais je me surprends à aimer les petites rides qui dessinent chacun de ses sourires. Car la dame a visiblement peur du silence qu’elle meuble d’une conversation faite de tout et de rien. Sourires ...
    ... charmeurs, minauderies, je succombe petit à petit aux efforts qu’elle déploie pour plaire. Elle se met à l’aise et défait ses escarpins, étend ses pieds sur ma banquette, juste à côté de moi tout en continuant son charmant babillage. Mes yeux ne peuvent s’empêcher d’être attirés par ses petits pieds potelés, qui s’ouvrent et se referment comme des éventails au rythme de la conversation. Bas ou collants, qu’importe… le spectacle de ses jambes gainées de noir m’aimante. Le passage du contrôleur fait heureusement baisser la tension érotique qui s’installe dans l’espace clos où nous nous retrouvons la belle et moi. — Nous ne serons plus dérangés maintenant, me dit ma compagne de voyage. Une heure et demie jusqu’à Paris. Je vais me reposer un peu si ça ne vous dérange pas. Et, sans attendre ma réponse, elle tire tous les rideaux du compartiment, éteint le plafonnier et s’allonge sur sa banquette, couchée sur le côté, dos tourné. Mes yeux s’habituent à la lueur de la veilleuse et le spectacle de sa croupe un peu large serrée dans sa jupe provoque une érection de bonne facture. La belle dort, j’entends sa respiration régulière. Je prends alors mon imperméable que je pose sur moi comme une couverture et j’ouvre ma braguette pour me caresser discrètement en profitant du spectacle. À force d’observer, j’en déduis que la belle porte des collants. Malgré la pénombre, leur couleur sombre les distingue sous la jupe serrée, si serrée que je devine même les assemblages de ses sous vêtements : la ...
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