1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 831)


    Datte: 20/06/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... l'entrée de la bouche. On peut entendre des râles et des soupirs sûrement de satisfaction. La belle soumise n'est pas habituée à faire des fellations tel un pantin, et après que sa bouche et sa gorge se fussent habituées, elle se laisse docilement aller à la cadence imposé. Elle découvre que c'est en fait simple de ne penser à rien d'autre que d'obéir, de satisfaire les envies d'une personne qui passent avant les siennes... Un bien-être circule dans son corps et elle sent son bas-ventre s'humidifier... Soudain, Mary sentit un coup sec sur sa croupe, car par pure surprise, elle mordit involontairement et légèrement la queue de Walter qui rentrait dans sa bouche à ce moment par un léger coup de mâchoire qui referma un peu les dents. Surpris à son tour, sans un mot, le Majordome retira sèchement sa verge et donna une paire de gifles à la soumise pour qu'elle comprenne qu'il n'avait pas apprécié sa réaction. Puis il pénétra de nouveau de toute sa longueur son membre comme pour lui montrer qui commandait. La soumise humiliée subit de nouveau ses assauts sachant que cette faute fera l'objet d'une punition plus tard. Walter continua de baiser, pilonner sa bouche, le rythme avait accéléré et Mary commença à ressentir une petite douleur au niveau de la mâchoire. Sa bouche s'ouvrait de plus en plus. Sa bave coulait sur son menton, son cou. Son souci était de s'appliquer à ce qu'il lui était exigé : En l'occurrence à cet instant, être une bonne suceuse et satisfaire l’homme ...
    ... s’enfonçant dans sa cavité buccale. Et c'est ce qu'elle aimait. Pendant ce temps, elle sentit un deuxième coup de cravache sur sa fesse gauche, puis sa fesse droite, puis de nouveau la gauche... elle reçut une série de coups ainsi bien appliquée sur son fessier. Il devait rougir au fur et à mesure car elle sentait chauffer. Elle veillait à ne pas mordre de nouveau le volumineux et raide membre du Majordome mais resserrait ses lèvres autour ce qui avait pour effet de le faire encore plus grossir. Et Marie la cuisinière lui disait avec perversité : - Suce petite chienne, suce la grosse bite de Walter... C'est la première que tu prends ainsi sans en prendre toi-même les rênes, n'est-ce pas ? Je te rappelle que tu n'es pas chez toi et tu ne portes pas la culotte comme chez toi où ton mari de laisse tenir son manche… Mary en l'entendant, pensa que oui, chez elle s'est souvent elle qui prend les "commandes" quand elle taille une pipe à son mari. Lui se laissait aller, passivement, la laissait décider et dans un sens elle était un peu soumise tandis qu'elle répondait à ses envies. Mais ce qu'elle souhaitait c'est se laisser aussi diriger, ne pas décider... Et c'est ce qu'il se passait à cet instant-là, alors que Walter baisait sa bouche et la cuisinière lui tannait le cul avec sa cravache... Elle ressentait à la fois une douleur, et un bien-être. Elle se sentait bien mentalement et bien sûr tout cela l'excitait. Marie la cuisinière perverse, entra d'un coup le manche de la cravache dans la ...