1. Bourgeoise aux mirabelliers


    Datte: 20/06/2019, Catégories: Mature, Inceste / Tabou

    18 h.Il faisait encore chaud sous le soleil mosellan en cette fin juillet. Une légère brise évitait toutefois à ma transpiration de s’écouler trop longtemps. Déjà trois heures que j’enchaînais le débroussaillage de petits vergers appartenant à Mme MICHELLE. Comme tous les ans à cette époque, j’occupais mes vacances en entretenant les vergers des particuliers du village avant la maturité des mirabelles. Evidemment c’était la première coupe et je devais utiliser une lame de faucheuse relativement lourde. Heureusement les roues motorisées me permettaient de gravir les pentes sans trop de difficulté.Comme prévu Mme MICHELLE arrivait pour constater l‘avancée du travail. Elle tenait avec elle une grande bouteille d’eau fraîche qu’elle me tendit. Cette dame, la cinquantaine, travaille à 5 km dans la grande ville voisine en tant que réceptionniste dans un grand hôtel. Son mari lui travaille au Luxembourg pour une banque réputée. Il part souvent tôt le matin et ne rentre généralement pas à la maison avant 20 h. Cela fait trois ans que je les connais, depuis que leur fils, Gaëtan, a intégré le même lycée que moi. Ses parents lui paient tous les ans pendant les vacances un voyage à l’autre bout du monde. Cette année direction le Pérou et ses cités Incas.Moi je n’ai pas les moyens de partir, alors je reste ici. Ayant sympathisé avec Gaëtan, j’ai appris que ses parents possédaient des petits vergers au village et qu’ils cherchaient une entreprise pour les nettoyer. C’est ainsi que je me ...
    ... suis retrouvé ici.Pour l’heure il me restait environ 1 hectare à débroussailler. Mais ce serait pour le lendemain. J’avais toutes mes vacances et Mme MICHELLE me donnant près de vingt euros de l’heure, je n’hésitais pas à prendre mon temps. Comme à son habitude elle s’émut du travail que j’avais pu réaliser en une seule journée, alors que franchement je ne m’étais pas forcé. Elle faisait semblant de s’intéresser à mon travail en me demandant si la récolte de mirabelles serait bonne, mais au fond c’est une urbaine convaincue. Ses vergers elle les tient d’un héritage, et si ce n’est pour produire de la gnôle dont son mari raffole ils ne l’intéressent pas plus que ça. Mais je lui répondis poliment :- Ça a bien gelé au printemps, y’aura pas grand-chose comme fruits, mais bon avec ce soleil va y avoir du sucre. C’va faire de la bonne liqueur.Voyant son intérêt démesuré pour les mirabelles, je lui donnai congé en lui prétextant une soirée en ville avec des potes. Mais bizarrement elle sembla vouloir me retenir en m’affirmant qu’une douche est vite prise et que je pourrais bien prendre l’apéro avant chez elle. N’étant effectivement pas pressé j’accepta l’invitation. Je rangeai ma faucheuse dans mon vieux 4x4 Suzuki tandis qu’elle repartit chez elle dans sa Mercedes classe E, légèrement en inéquation avec le lieu.J’arrivai une petite dizaine de minutes après elle devant sa magnifique villa. Cette fois mon Suzuki fit un peu étron dans la galerie des glaces… Connaissant la maison je me ...
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