1. Les aventures sexuelles débridées de Patrick, Christine la belle-maman. (1)


    Datte: 28/08/2017, Catégories: Hétéro

    ... que je suis toujours suspendue à lui, mon corps ne touchant plus le sol. Je ne sais plus que penser, regardant tour à tour ce drôle de couple. Mais ma chatte déformée par son formidable engin me fait redescendre « sur terre », enfin… façon de parler. — Mais, c’est ton futur mari ?! — Tais-toi Maman! Ton corps à besoin d’une queue et la sienne est exceptionnelle. Depuis que tu m’as vu, tu aurais pu partir mais tu es toujours empalée sur sa verge ! — Je te laisse profiter de lui et de sa virilité. Patrick… Ménage-la quand même, c’est ma mère ! -Aller, je vous laisse. Maman… Baise, baise jusqu’à plus soif. Jouis sur sa queue, encore et encore ! Mais tu vas souffrir crois moi! Prends tout le plaisir que tu peux! Je la regarde étonnée de ses paroles, qu’a-t-elle voulu dire? Patrick me rappelle à lui par un coup de queue puissant au fond de ma grotte de plaisir. — Oh mon Dieu Patrick, tu me tues ! Je ne me suis même pas aperçue qu’Emilie nous avait laissé seuls. Patrick, toujours enfiché en moi, m’amène vers le lit, m’y dépose et interrompt son coït un instant pour me promettre : — Christine, je vais te faire prendre ton pied jusqu’à ce que tu n’en puisses-plus et que tu me demandes grâce. Il me besogne à nouveau mais maintenant il a les mains libres, elles courent sur mon corps, sur mes seins, sa bouche entre aussi dans la danse, attrape un téton entre ses lèvres et tête comme un bébé. J’adore sentir sa queue fermement planté au fond de moi et je la comprime de mes muscles ...
    ... intimes, un orgasme violent déclenche en moi des sensations que j’avais oubliées. — Christine, tu me fais penser à quelqu’un, elle aussi a ce pouvoir de broyer de ses muscles intimes ma bite, tu me presses comme une grappe de raisin. Je lui rétorque avant de me pencher et de l’embrasser: — Huuuummmm… C’est la première fois aussi que j’ai un si beau chibre en moi. Mon Dieu, que tu es gros… Tu m’as fais connaître un de mes orgasme le plus fort de ma vie, tu es un chou, je ne te remercierai jamais de ce que tu viens de me donner ! Je veux me relever mais il reste au dessus de moi et continue son labeur. — Eh, on est deux ! Moi aussi je veux jouir de ton corps mais avant tu jouiras et jouiras encore à en mourir. - Ne sois pas si prétentieux, aucun homme ne ma fait l’amour plus d’une quinzaine de minutes, une demi-heure tout au plus, et ta performance de cette nuit a du laisser des traces! — Ce n’est pas ton problème. Tu n’apprécies-pas ce qui fouraille dans ta chatte ? Tu n’en veux déjà plus ? Et j’ai de quoi fournir, ne t’inquiètes-pas pour moi ! Il faut dire que ce formidable piston me fait me pâmer, il me pénètre avec lenteur, tout en puissance, ressortant à la limite de déchausser avant d’aller faire buter son gland tout au fond de mon vagin. Je n’ai jamais été fouillée aussi loin. — Je te prends au mot mais ce n’est pas l’orgueil qui t’étouffe! Je le tiens toujours serré contre moi et un long gémissement m’échappe malgré nos bouches qui se sont soudées entre-elles pendant qu’il me ...
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