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Terra Sancta Nostra (2)
Datte: 20/06/2019, Catégories: Hétéro
... qu’elle vient d’offrir à tous les colocataires. Et je pars finalement me coucher. Le lendemain matin, en revenant de mon jogging matinal je l’aperçois devant sa porte. Elle sourit et elle me lance : -Tu as aimé ? -Pardon ? Dis-je en essayant de déglutir. De quoi tu parles ? -De ce que tu as fait. -Le sport ? -si c’est comme ça que tu appelles ça! Alors ? Je lui souris et je rentre sans crier gare. Je préfère ne pas me dire qu’elle parle de son show de cette nuit. Mais cette fois j’ai oublié de fermer ma porte à double tour. Elle entre derrière moi sans toquer. Je me retourne et déjà j’ai un nœud dans la gorge, par rapport à hier elle est habillée très convenablement. Elle porte une leggings et je crois le même body qu’hier. - Je me disais que tu devrais passer ce soir chez moi. - Pardon, fis-je avec un air ahuri. - Oui, pour qu’on fasse plus ample connaissance. Histoire de fou. A ce moment, je me mets à suer rien qu’en pensant à cette situation. Moi chez elle ? Se moque-t-on de moi, est-ce une caméra cachée ? Quoi qu’il en soit, je décline poliment son invitation prétextant un programme chargé toute la journée. Elle s’en retourne en souriant et après m’avoir une fois de plus défié du regard. Et moi je suis bien obligé de sortir après avoir passé quelques minutes tétanisé et avoir pris mon bain. Cette journée passe. Le lendemain, après mon sport matinal, je suis devant la télé quand : -Robert ! -Carine ! Tu… tu … je ne t’avais pas entendu entrer. -Ta porte était ouverte. ...
... Écoute… Je pense qu’on a déjà assez attendu ! -Pa… Pa… Pardon !! Je ne comprends pas. Elle s’avance et se blottie contre moi. J’essaie de garder le contrôle. Je balbutie des « quoi, hein » ; Je sens sa poitrine qui s’appuie sur moi. Elle m’enlace tendrement. Eh ! Mais !! Elle fait de petits et lents mouvements verticaux. Je… je vois flou. Il y’a une sensation étrange et agréable qui me traverse tout le corps. Je baisse le regard vers elle et je croise ses yeux. Elle me sourit : -C’est moi qui te fais ça ? Me lance-t-elle. Tu bandes comme un taureau. Je me rends alors compte que mon sexe est tendu à la limite de l’explosion ou plutôt l’implosion. Mon esprit me hurle de quitter, de fuir. Mais mon corps n’obéit pas. Il a déjà sa propre autonomie. Et pire : je ne veux pas qu’elle arrête, je ne veux pas qu’elle se décolle de moi. Toujours blottie contre moi, elle ne cesse pas de bouger, et déjà je n’en peux plus, d’affreuses images me passent par la tête : J’ai envie de l’embrasser, de lui malaxer les seins, les presser ! Oh Dieu je veux lui presser ses tétons déjà durs secs. Ensuite baisser mon pantalon et lui mettre ma queue au fond de la bouche. Je veux la voir à genou devant moi en train de me sucer la bite. Lui mettre ensuite ma queue entre ses deux gros obus et lui ordonner de me masturber jusqu’à satiété. C’est alors que je sens sa main qui me caresse le sexe à travers mon pantalon. Je suis comme figé. Hésitant entre la repousser ou me laisser aller. Alors j’ai fait ce que toute ...