Souvenirs d'une autre vie (4)
Datte: 21/06/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... quand même pas violer le compagnon de Pauline, ni appeler Yohann, alors que faire ? Ça me dévore de l’intérieur. J’ai bien senti en suçant le gaillard là que mon ventre criait famine. Pauline ne pourra pas satisfaire à tous mes désirs. Une partie j’en conviens, elle en a calmé seulement partiellement les attentes. Et lui, là son Moïse, elle a fini par le vider entièrement. Arrête Maryse ! Tu t’entends dans ta tête ? Tu ne peux pas penser ce que tu penses. Et pourtant… j’en suis au point que n’importe quel homme, non n’importe quelle bite ferait l’affaire. Il faut, c’est devenu un impératif, il faut que je baise. Mes invités sont à la douche, les deux ensembles. Ils rient, ils jouent. J’en suis de plus en plus malade de cette envie qui me dévore le ventre. Mes doigts n’arrivent plus à juguler cette montée d’images pornographiques qui s’activent, qui s’empressent de me tenailler les tripes. Tant pis, il me faut faire l’amour, c’est impératif ! Attendre va me rendre totalement dingue. Mais où trouver un mâle ? Le seul disponible est déjà en main. Tant qu’elle a bien voulu me le prêter… mais je ne peux pas réclamer. De quoi j’aurais l’air de lui dire bien en face : « Tu veux bien que Moïse me baise, j’ai trop mal, je suis trop malade d’attendre ! » Je ne peux pas faire cela. Elle serait sans doute furieuse. Ce n’était déjà pas mal qu’elle me le laisse sucer… oui, mais c’était trop ou trop peu finalement. Les deux jours qui suivent sont pour moi un interminable, un véritable ...
... calvaire ! Je les entends, les imagine partout dans la maison qui font l’amour. C’est une obsession, comme un leitmotiv qui me marque comme au fer rouge. Mais je crois que c’est mon esprit qui veut absolument entendre ce genre de chose. Même lorsqu’ils sont près de moi, les gémissements de Pauline retentissent dans mon crâne. Inutile de dire que quand ils reprennent la route pour rentrer, je suis enfin en paix. Enfin… pas tout à fait. Je prends le téléphone et j’appelle mon fils. — Allo ! Maman ! C’est toi ? — Oui ! Je voulais savoir si tout va bien. — Oui ! Je révise et toi, tu as passé un bon week-end ? — Oui ! Pauline est venue me voir avec son nouvel ami. J’ai passé trois jours avec eux, à la maison et ils viennent tout juste de partir. — Rien de particulier alors ? — Si… tu me manques Yohann ! Tu renteras en fin de semaine, oh ! Ne me dis pas que tu vas encore rester dans ta chambre. — Non, non ! Sois tranquille je vais rentrer ! Vendredi soir et pour tout le week-end ! — Alors je ne te dérange pas plus longtemps et je t’embrasse mon ange… reviens-moi vite. — Bise à toi maman ! Le bip qui annonce la fin de conversation me met un coup au cœur. Le blues me rattrape, me tord les tripes et je me sens abandonnée. Mue par je ne sais quel réflexe, je vais visiter la boite à lettres. Elle est comme de coutume remplie de pub, malgré l’autocollant « no pub ». Je trie pour voir si par hasard une lettre ne se serait pas faufilée dans les pages des catalogues dont regorge la boite. Et un ...