La trahison
Datte: 21/06/2019,
Catégories:
fh,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... elle qui l’a écrite. On m’a envoyé au rendez-vous comme à l’abattoir. Mais d’un autre coté, que lui a-t-on fait pour qu’elle soit aussi furieuse. Oh, puis après tout, je m’en fous, le cauchemar est fini. En sortant de la douche, il se contemple dans le grand miroir : pas terrible, mais enfin dans quelques jours il pourra partir sans trop se faire remarquer. Mais il a déjà perdu cinq jours. Pourtant le nez lui fait toujours mal. Aujourd’hui il va au supermarché, refaire des provisions pour son voyage. Personne n’a l’air de trop le remarquer, simplement deux gosses qui se marrent et le montrent du doigt. Le coffre est plein, il va me falloir faire deux voyages pour monter le tout. En redescendant, il laisse la porte entrebâillée afin de ne pas être gêné la fois suivante. Le nez plongé dans le coffre, il entend : — Vous êtes de retour de congé ? Vous n’êtes pas resté très longtemps. Oh, la voisine, l’emmerdeuse, j’en ai pour un moment à m’en débarrasser. Il se redresse, lui raconte une version adaptée de son incident : une bagarre a éclaté devant une boite de nuit, il passait par là et a pris un coup sur le nez. Il lui a fallu se soigner. Mais il va partir dans une paire de jours. Et ma porte qui est ouverte. Heureusement que l’immeuble est tranquille. Il monte, du pied pousse le battant, puis le claque derrière lui. Il va déposer le tout à la cuisine. Soudain, il sursaute. Assise sur le canapé, Claire. Il ne l’avait pas remarquée en entrant ou peut-être l’a-t-elle suivi. — Euh, ...
... comment vas-tu ? Bien remise ? Tu m’excuseras, mais j’étais tellement mal foutu, enfin, je ne savais pas où tu étais, je n’ai pas pu aller te voir.— Je vais très bien, je suis sorti avant-hier. Mais d’abord, je viens te remercier, tu m’as sauvé la vie alors que moi je t’ai démoli la tienne.— Oh, c’était un malentendu. Quelqu’un a voulu nous jouer un sale tour.— Et toi, comment vas-tu ? Il est embarrassé, ne sait que dire. Aujourd’hui elle lui paraît beaucoup plus mignonne que lors de leur dernier tête à tête. — Clément, je voudrais t’expliquer ce qui s’est passé, pourquoi je m’en suis prise à toi.— Ce n’est pas grave, c’est fini maintenant.— Si, j’y tiens. Mais d’abord, que faisais-tu le 4 juin ? Il réfléchit un instant. C’était la préparation du BTS, il était à Millau au lycée, à deux cent kilomètres d’ici. Il le lui dit. — Donc, tu n’étais pas ici. Je te parle du 4 juin parce que ce jour là, je rentrais tranquillement chez moi par le raccourci, et là, j’ai été agressée. D’un coup, une couverture m’ait tombé sur la tête, on m’a bloqué bras et jambes et je me suis retrouvée dans la salle que tu connais. Et là, j’ai été couché au sol, deux ou trois hommes me tenaient, et l’un d’eux a tenté de me violer. Certes j’ai déjà couché avec des garçons, mais toujours de mon plein gré. Il a donc baissé mon jean, ma culotte. Les autres l’encourageaient : — Vas-y Clément, baise-la, elle t’a fait assez de mal. Vas-y, venges-toi. Allez Clément. Il a du y avoir du bruit dehors car ils m’ont ...