Premier contact
Datte: 28/08/2017,
Catégories:
fh,
inconnu,
Oral
... m’excuser pour tout à l’heure. J’espère ne pas vous avoir froissé ?— Ne vous inquiétez pas. C’était plutôt flatteur. Je veux dire votre regard bien sur ! Pas très discret mais flatteur. Vous me suivez ? Je vous montre l’étage et la chambre libre. Je décide de ne rien ajouter et de faire profil bas. Elle se dirige vers l’escalier qui prend naissance dans le couloir d’entrée, s’assure d’un coup d’œil que je la suis et commence à escalader lentement les marches. Qu’il est raide cet escalier ! Et deux marches derrière elle, je me retrouve les yeux au niveau de ses jambes ! Deux marches encore : à chaque marche sa robe glisse légèrement vers le haut et révèle ce qui me semble être des Dim up ou des bas, je ne sais pas trop. J’ai envie de tendre la main pour caresser ses jambes adorables et trancher ce délicieux dilemme. J’en suis là des mes réflexions quand elle stoppe brusquement et se retourne à demi pour dire quelque chose. Surpris, je rate la marche, trébuche vers l’avant et me retrouve involontairement à genoux et à ses pieds, une main sur une marche et l’autre sur son mollet. Rêve et cauchemar mêlés : je caresse presque ses jambes et je me dis que non seulement je risque de me recevoir une claque bien méritée mais en plus l’appartement va me filer sous le nez. Je ne sais trop comment réagir quand je l’entends rire doucement. Je laisse ma main sur son mollet et elle me laisse faire. Je me redresse un peu ; elle ne bouge pas, souris largement semble s’amuser follement de ...
... cette situation et de mon embarras. Pour en avoir le cœur net je frôle sa jambe de mon autre main : elle ne bronche toujours pas. Je pousse mon avantage, fais remonter mes deux mains de ses mollets vers ses genoux, elle se laisse faire. Au bout de quelques secondes elle remonte très lentement une marche, s’arrête à nouveau. J’avance de même, la regarde : elle me fixe de ses grands yeux bleus, me souris, j’ai l’impression qu’elle m’invite à recommencer à la caresser. Je vais pour poser mes mains au niveau de ses cuisses, elle monte prestement une marche avant que j’aie pu la toucher et murmure « sachez prendre votre temps ». J’avance à nouveau, pose mes mains sur ses mollets et monte très doucement. « Oui, c’est mieux » murmure-t-elle. J’arrive à ses cuisses et elle me laisse faire. Je la caresse lentement puis pose mes lèvres en un long baiser. Elle s’échappe à nouveau lentement, monte deux marches, s’arrête et se tourne vers moi avec un sourire et un regard qui valent toutes les invitations du monde. Je la rejoins, recommence mon approche : les mollets, le pli des genoux, l’arrière des cuisses ; comme je laisse mes mains folâtrer sur ses bas mes lèvres accompagnent le mouvement. J’arrive au niveau du bas de sa robe, commence à la remonter quand elle se dégage à nouveau pour aller à la marche suivante. Je reprends mon manège jusqu’au bas de sa robe et remonte lentement. Chaque fois elle me laisse aller un peu plus loin, chaque fois nos stations durent un peu plus longtemps. Mes ...