En route pour l'Ermitage - Histoires de Sexe

En route pour l'Ermitage

... tienne est également ravissante. Pourtant, j’avoue que je te préfère sans !— Merci du compliment, mais ce n’est pas là que je voulais en venir. Je n’avais pas remarqué que Julien s’était emparé d’une cravache. Il la pointe vers moi et la fait claquer sèchement dans l’air. Agacée je lui dis : — Arrête avec ça, ce n’est pas un jouet ! Admire plutôt les lignes du corps parfait de Tarentelle.— C’est un bel animal. J’aimerais comparer les courbes de vos deux corps.— Enfin… ! Ne tenant aucun compte de ma protestation, il commence à poser la pointe en cuir de la cravache sur mes reins. Je tente d’esquiver mais la baguette s’abat sèchement sur mes fesses. — Aïe ! Arrête tout de suite ça !— Pas question. S’il faut te dresser je le ferai ! Allons, reste docile… Je le laisse alors parcourir les contours de mon corps. La cravache glisse sur ma robe comme le pinceau d’un artiste qui cherche les lignes du corps de son modèle. Soudain, la pointe se fraye un chemin entre deux boutons, atteignant ma peau entre les omoplates. Il me frotte ainsi le haut du dos, ce qui provoque en moi une agréable sensation. Je le laisse faire et accompagne même le mouvement. — La bête apprécierait-elle les caresses ? Me murmure-t-il victorieusement.— Hum ! Hum ! Soudain, il quitte mon dos pour aller directement entre mes cuisses, passant rapidement sous ma robe. Je cherche aussitôt à me retourner mais, rapide comme l’éclair, il dégage la cravache et un coup cingle mes fesses. La colère monte en moi, mais en ...

... même temps, contre toute attente, cette situation commence à m’exciter. J’ai envie de m’enfuir en protestant vivement contre cette attitude et pourtant je ne le fais pas. Je me contente de montrer ma révolte. — Hé là ! L’animal se rebiffe ! commente Julien. Le dressage n’est pas encore parfait. Allons, la belle, du calme et tu verras, je ne te ferai pas de mal ! Je ne dis rien, lui lançant simplement un regard noir. La cravache dessine maintenant mes seins, agaçant les pointes à travers le tissu de ma robe. Un trouble naît déjà au plus profond de mon intimité. Julien continue son manège, parcourant chaque parcelle de mon corps. — Viens par ici ! Il m’entraîne vers une barrière sur laquelle sont déposées des longes et des selles. — Pose tes mains contre la barrière du box et cambre toi ! m’ordonne-t-il. Comme je tarde à obéir, il m’assène une nouvelle tape sur le bas des reins, sans force mais avec détermination. Les coups précédents ont déjà laissé une légère brûlure sur ma peau. Curieusement, cette douleur éveille en moi une émotion sexuelle sans équivoque, détruisant en un instant tous mes préjugés sur le masochisme. En fait, je découvre soudain que je prends réellement plaisir à ce jeu. Douleur, plaisir, humiliation, exhibition, et en fin de compte, excitation qui mène au plaisir… J’en ai honte, mais je suis incapable de résister. J’obtempère donc et prends la pose demandée. Julien m’attache rapidement les poignets à l’aide des sangles des selles. Ensuite, il passe derrière ...