Découverte d'une putain
Datte: 22/06/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... son père lui explique que c’est pour son bien, pour son avenir. Mon cerveau était lavé je ne réalisait plus trop ou j’étais ce que je faisait, Alain descendit de la voiture , il m’ouvrir la porte , me prit par ma main et me fit sortir de la voiture avec grand difficulté . Je tremblais encore, mes jambes semblaient ne plus pouvoir me porter, Alain me réajustai ma petite jupe , mes cheveux , il essuyait une dernière larme . Allez ma belle, courage ! tu vas être à la hauteur je le sais , Fais moi honneur , je lui ais assuré que tu as une bouche délicieuse, une gorge profonde et que tu avales comme un aspirateur à foutre. Voila qui me rassurais , j’étais un aspirateur à foutre. Je marchais perchée sur mes talons , dandinant du cul vers la voiture sans trop réaliser ce que je faisais, le vent me caressait sous ma jupe, l’homme baissait sa vivre . Bonjour, c’est toi la pute , comment tu t’appel ? ! il me regardait de haut en bas , sortit son bras par la vitre et souleva ma jupe pour regarder mon minou . HA oui, pas mal ! Moi c’est Nico , combien la pipe ! Je le regardais comme une dinde, sans comprendre ce ...
... qui était pourtant claire à comprendre même pour une dinde. il rigolait, Non dit-il je plaisante , je me suis arrangé avec ton mac . Nico était un jeunot de la trentaine, bien foutu, bien musclé, belle gueule, un super étalon, mais il semblait aussi prétentieux que l’abondance de son sperme. Il m’insultait comme jamais je n’ais connue ça quand je le pompais comme une pute. Il qualifia ma gorge de Gorge à bites, et moi de videuse de couilles. Quand je retournais dans la voiture d’Alain , il ne me dit rien , il me tendait un billet de 100 et me dit , le tarif c’est 50 mais ça double comme tu avales. Je réalisais que je venais de faire une pipe tarifée. Alain rajoutait, avec lui c’était double mais avec moi c’est gratuit. Quand je rentrais à la maison après avoir vidé deux mecs, mon mari était arrivé, voyant mon allure il comprit que je l’avais encore trompé . Je lui racontais pour Alain mais pas pour Nico . La nuit fut encore formidable, mon mari était chaud, il me baisait comme j’aime toute la nuit . Je réalisais que j’avais réellement fait la putain, que ce n’était plus un fantasme mais une réalité. Annie