Ma révélation sexuelle (2)
Datte: 22/06/2019,
Catégories:
Hétéro
... J’attirais sa tête pour qu’il m’embrasse. Il sentait fort mon excitation. Un peu rassasiée par un baiser fougueux je récupérais suffisamment de lucidité pour lui demander s’il avait des capotes. « Scout toujours !! » rétorqua-t-il. C’était trop nul, mais ça m’a fait sourire. Il s’est levé, a ouvert le tiroir et a sorti une boite. Encore une fois, je me demandais combien de femmes s’étaient couchées là. Et puis encore une fois, je m’en moquais, cette fois c’était moi et moi seule. Il se mit tout nu. Je ne fis même pas trop attention à son sexe, j’étais en fait focalisée sur son torse, un torse d’homme de 50 ans, entretenu quand même, et puissant. Moi qui n’avait jamais aimé les poils, sa toison grisonnante sur sa poitrine m’envoutait. Une fois la capote mise, il grimpa à quatre pattes sur le lit, félin, au moins dans ma tête, le regard gorgé d’envie et de désir. Il s’installa au-dessus de moi, senti mon odeur dans mon cou. C’était animal. Je saisis son sexe avec ma main. Cela le surpris, lui qui depuis le début menait si bien la danse et savait si bien m’envouter. « Doucement s’il te plaît » lui murmurais-je. Cela faisait, longtemps, très très longtemps que je n’avais pas accueillis d’homme. Il cligna des yeux en signe d’assentiment. Je dirigeais alors son sexe vers l’entrée du mien. Les premiers centimètres furent aisés, déjà ouvert par ses doigts auparavant. Et puis je me sentis, si étroite. Il s’arrêta. Il me laissa bouger moi-même, m’ouvrir à mon rythme. Je l’attirais pour ...
... qu’il m’embrasse en même temps. Je m’ouvris finalement assez rapidement, j’étais excitée comme jamais, pucelle mais sans les appréhensions qui vont avec. A peine commença-t-il à pouvoir bouger librement que je jouissais, incapable de me retenir. « Hé bien, je savais que je suis bon, mais là je dépasse tous les records » s’auto-congratula-t-il sur le ton de la plaisanterie. Je rougis. Confiante, relaxée, je lui avouais ma petite traversée du désert d’un an. Il me dit qu’il n’en revenait pas que ce fut possible. Après, et malgré le plaisir que je continuais à prendre et que je lui laissais comprendre, cela n’était pas suffisamment torride pour lui. Il justifia le fait qu’il ne parvenait pas à jouir à cause de la capote. « Du coup, heu, …, ça te dérange de me branler ? ». Je secouais la tête, bien sûr que non. « Aller vient là mon grand » dis-je en lui faisant un petit signe de la main. Tout sourire il grimpa sur moi et s’agenouilla au-dessus de mon ventre, son sexe, que je regardais avec attention maintenant, juste au-dessus de ma poitrine. Je me rappelle que je fus surprise de le trouver si semblable à une bite de jeune. Certes ses poils étaient grisonnant et cela se voyait que ce n’était pas une bite d’un homme de 25 ans, mais bon, elle n’était pas défraichie du tout. En fait même, un peu comme l’allure général de JM, elle semblait juste mature, pleine de cette assurance que confère la force et l’expérience de l’âge. Et puis, au-delà de ça, elle était particulièrement jolie, ...