1. Ma femme Sophie se libère (suite)


    Datte: 28/08/2017, Catégories: Hardcore,

    Ma femme Sophie se libère (partie 2) J’aide Sophie à se remettre sur ses pieds. Elle est chancelante après ce que je lui ai fait subir. Alors qu’elle redescend sa robe sur ses fesses, je remets ses seins qui pointent toujours autant à l’intérieur de sa robe. Elle est encore en train de réajuster sa coiffure quand je la prends par la taille pour quitter notre petit recoin sombre du parc. À la lumière des lampadaires, je peux mieux évaluer son état. Son maquillage a complètement coulé, elle reste ébouriffée et le dessus de ses seins est brillant de toute la salive qui a coulé dessus.Sophie se blottit contre moi pendant que nous traversons le parc, elle ne voit pas que je regarde autour de nous à la recherche de la présence de notre voyeur, mais soit celui-ci est déjà reparti, soit il reste bien caché. Nous finissons par arriver à notre voiture sans croiser âme qui vive. Nous roulons tranquillement en silence. Sophie à côté de moi nettoie tout son maquillage qui a coulée. Cela fait cinq minutes que nous sommes sur notre route de campagne quand je sens tout à coup la main de Sophie se poser sur mon entrejambe. Je jette un coup d’œil vers elle et je la vois sourire tandis qu’elle accentue la pression de ses doigts. L’effet est immédiat et je me remets doucement à bander. La main de Sophie se fait vite plus aventureuse, elle ouvre ma braguette et s’insinue dans mon boxer pour serrer délicatement mon pénis. J’aimerais bien qu’elle aille plus loin que cette légère masturbation, ...
    ... qu’elle me suce alors que je conduis, mais je tiens à rentrer en vie. Il faut que je prenne mon mal en patience, j’aurais tout le temps de profiter d’elle quand nous serons enfin arrivés chez nous.Ce voyage me parait durer une éternité, mais enfin je touche au but. Je m’arrête devant notre portail automatique dont j’active l’ouverture. Je me gare dans notre entrée gravillonnée et coupe le contact. La lumière du portail est toujours en train de clignoter quand je recule brusquement mon siège. Je n’ai pas besoin de prononcer le moindre mot, mon invitation est claire et Sophie plonge sur ma bite. Pour elle aussi, le voyage a apparemment été long, car je me retrouve immédiatement au fond de sa gorge. Elle se met à me pomper avec une avidité folle, je n’ai absolument pas à lui imposer mon rythme tellement c’est bon. Puisque mes mains sont libres, j’en profite pour m’occuper du corps de Sophie. Je remonte sa robe au-dessus de ses fesses. Je commence à les caresser, à passer sous sa culotte noire. Mes doigts finissent par arriver au contact de sa chatte. Elle est littéralement trempée. Je joue un moment avec ses grandes lèvres avant de partir en quête de son clito que je trouve bien dur sous mes doigts. Immédiatement, je me mets à le caresser, à le pincer légèrement. Je sens aussitôt Sophie gémir autour de ma queue. Elle aime ce que je lui fais et me remercie en accélérant un peu plus le rythme de sa pipe. Par moment, elle garde mon gland au bord de ses lèvres pour faire tourbillonner sa ...
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