-
Le meilleur ami de l'homme (1)
Datte: 22/06/2019, Catégories: Zoophilie,
... Welcome ! D’abord intrigué, le cabot dressait les oreilles. Puis comme elle répétait ses mots d’une voix toujours aussi éraillée, il avança vers elle sans venir cependant trop près. La main de la femme vint se coller sur le haut du crâne du chien pour une sorte de gratouillis. Une caresse aux effluves entachée de cette si spécifique odeur de sexe. Il levait simplement le nez et sa langue venait chercher sur les doigts l’essence rare dont ils étaient porteurs. Elle le laissait faire et se tapotait sur le bas du ventre avec son autre main. C’était une invitation à venir chercher là aussi ce nectar ? L’animal hésitait. Mais la voix se faisait plus douce. — Approche ! Allons viens donc ! Le chien, précautionneusement venait flairer ce qu’il devinait comme un bouquet délicieux. Elle retirait alors sa petite patte qui cachait une fente légèrement ombragée par quelques duvets soyeux. Le brave toutou alors risquait un premier coup de langue pendant que la belle ouvrait plus amplement les cuisses, pour lui faciliter un passage déjà largement découvert. Ce coup de langue râpeuse la submergeait de frissons. Elle osait un interdit, elle tentait quelque chose d’inédit. Surprise par sa propre audace, elle repoussait une première fois la bête. Mais il restait là, assis à cinquante centimètres de ce mets d’un genre nouveau. Lui et elle se regardaient dans les yeux et ce qu’elle lisait dans ceux de Welcome c’était une servilité totale. Il lui était tout dévoué et ne bronchait plus, attendant ...
... sans doute qu’elle lui fasse un signe de plus pour revenir en force sur l’endroit attirant qu’elle ne cachait pas. Puis en laissant trainer son regard plus bas sous le poitrail de l’animal… la queue rouge bandée la subjugua. Rien à voir avec celle de son François. Non ! Vraiment rien de commun ! Elle continuait à se toucher langoureusement et il émit comme un râle feutré. Il réclamait peut-être une autorisation, qu’elle ne savait pas si elle pouvait lui donner. Puis l’esprit embrumé par son envie, elle oublia jusqu’à sa présence. Lui assis restait là, avec sa trique bien visible sortie d’un fourreau poilu. Elle fermait les quinquets et il prit cela pour une invitation. Il revenait, mais cette fois elle le laissa lécher sa vulve d’où suintait une mouille odorante. Enfin lui la sentait ! Et il n’hésitait plus, se gavant de cette eau bénite qu’elle lui offrait. Elle ne songeait plus à rien d’autre qu’à cette incroyable montée d’un plaisir plus que trouble. Elle songeait aussi que de toute façon, il n’irait le raconter à personne. Au moins serait-il un amant idéalement muet. Alors qu’elle songeait à cela elle se trouvait envahie par des spasmes hors du commun. Elle jouissait comme jamais sous une langue inhabituelle et c’était merveilleux. Après une bonne demi-heure de léchouilles, elle avait joui sans discontinuer et le cabot s’était reculé tant elle refermait ses jambes violemment. Il était à deux pas, se léchant le bâton rouge qui n’avait pas désenfler. Mais c’était trop lui ...