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La prof (3)
Datte: 23/06/2019, Catégories: Sexe Interracial,
... dézippai le devant de mon survêtement bleu sali par l'usure et la poussière presque jusqu'au bout laissant juste l'agraphe enclenchée. Je soulevai mon T-shirt d'où j'extrayai mes seins aux tétons érigés par le froid. Ils étaient blancs, lourds et la peau était un peu frippée car j'avais terriblement maigri !!! La drogue et la désintoxication m'avaient fait perdre une dizaine de kilos. Mes côtes apparaissaient sous la peau alors qu'avant, j'étais plus en chair sans verser dans les rondeurs. Mon visage s'était également creusé et ma peau avait pris une teinte grisâtre. Cependant, mes seins étaient toujours attrayants et lorsque je les saisis par dessous avec la paume de mes mains comme pour les offrir aux regards du réceptionniste, celui-ci apprécia en connaisseur. La main droite de l'homme partit sous le comptoir avec aucun doute quand à sa destination.- Fais-en voir plus ... Baisse ton froc ...Je sentis que mon repos pour la nuit devait passer par là. Mais j'hésitai tout de même car le néon éclaira le hall d'entrée au vu et au su des passants dehors jetant un coup d'oeil par la baie vitrée. Le réceptionniste insista :- Tu attends le déluge ?Je délaissai mes seins hors de la veste de survêtement pour dénouer la cordelette de mon pantalon. Dessous, je n'avais rien ... Ce n'était pas par coquetterie ni pour exciter la population que je l'avais fait mais parce que ce que j'avais sur moi était mes seuls vêtements. Mon arrestation s'était déroulée alors que j'étais toute nue en ...
... train de se faire défoncer la chatte avec un vibromasseur et les flics m'avaient juste couvert les épaules avec une de leurs vestes tandis que les ambulanciers me transportaient en epilepsie due à mon overdose. Je ne me souvenais plus de rien ... C'était les flics qui m'interrogeaient qui m'avaient tout raconté. Je baissai son pantalon sur les genoux, dégageant mon entrejambes à la pilosité blonde et hirsute. Le réceptionniste devant la vision renversa sa tête en arrière et ferma les yeux et souffla comme un phoque : sa main droite accéléra son mouvement sous le comptoir et j'aperçus juste un jet épais et blanc jaillir de sous le plan du meu ble avant de s'écraser sur le pull miteux de l'employé. Celui-ci laissa ses yeux fermés durant quelques secondes avant de gueuler :- Bordel ... Je m'en suis foutu partout ... Allez casse-toi, je t'ai assez vu ...- Mais Monsieur ... Vous m'aviez promis ...- Casse-toi sale putain ou j'appelle les flics ...- Monsieur ... S'il vous plait ... Monsieur ... Vous n'avez pas tout vu.Ce faisant, je s'affolai en retirant précipitamment mes vêtements et les laissant tomber par terre. J'étais nue, en train de retirer mes tennis et mes chaussettes lorsque la brute sortit de derrière son comptoir avec une batte de base-ball à la main. Il fouetta l'air en ratant de peu mon visage, trébuchant tandis que je me reculai précipitamment. Ma chaussure gauche vola en l'air au moment où je m'étalai sur le dos, les hanches nues cognant douloureusement contre la ...