Les deux soeurs
Datte: 23/06/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... put s'empêcher de considérer le copieux appareil génital du sexagénaire et constata in petto, sans qu'elle l'eut auparavant imaginé, qu'un homme à l'âge de la retraite pouvait encore donner du plaisir à une femme. Et même beaucoup de plaisir à en croire le cri de jouissance qu'elle avait poussée lorsqu'elle avait été pénétrée. Voyant qu'elle l'observait, l'homme l'interpella, rigolard : - Il vaut mieux baiser sur le sable que dans l'herbe, on ne risque pas de choper une tique... ********* Le soir, tout le monde se retrouva dans une boite de nuit à la mode. Les jeunes étaient nombreux, mais les adultes aussi. Sandrine avait l'air de connaitre tout le monde et Agnès n'en finissait plus de serrer des mains et de faire des bises. Sa soeur entra en grande conversation avec deux hommes à l'air sportif et décontracté, deux plaisanciers lui indiqua Marjorie. "Sandrine les connait bien et moi aussi" lui dit-elle avec un petit clin d'oeil. Les deux couples ne rechignaient pas à la danse et entrainaient Agnès qui finit par déclarer forfait et demander à rentrer. Le soleil, la mer, le voyage, les émotions diverses, cela faisait beaucoup pour une première journée. Elle s'endormit la main entre les cuisses en pensant au cul brun et poilu de Lionel à la plage et à ses circonvolutions entre les cuisses de Martine se pâmant. Cette pensée la fit jouir et elle sombra dans le sommeil les doigts poisseux. Le lendemain matin au petit-déjeuner, Agnès fut très étonnée de ne pas voir Sandrine dans ...
... l'appartement. Elle apparut finalement une heure plus tard et courut prendre une douche. Une fois lavée, elle apparut plus pimpante. Agnès l'interrogea : - Ne me dis pas que tu sors de boîte... - Idiote, il est dix heures. Non, j'ai passé la nuit chez Marjorie. - Et pourquoi pas ici ? - Ben tiens, parce que je ne voulais pas te déranger. Avec Marjo, on a baisé avec les deux mecs que tu as vu hier soir, on s'est fait une belle partie à quatre. - A quatre ? - Ben oui, à quatre. Une partouze si tu préfères, un quatuor quoi. - Tu... tu es une partouzeuse ? - Eh oui, ça m'arrive parfois. Il ne faut pas mourir idiote et tu devrais t'y mettre aussi. - Jamais je ne pourrais faire ça. - C'est ce que je disais aussi à une époque. Je ne dis pas que je ferais ça tous les jours mais de temps en temps, ça permet de faire péter les hormones. Tu ferais bien de t'occuper des tiennes au lieu de jouer les pimbêches. Tu vas vieillir avant l'âge, d'ailleurs je vois déjà quelques cheveux blancs, dit-elle en désignant un fil argenté dans la chevelure châtain de sa demi-soeur. - Pas la peine de me le rappeler, je le sais. Dis-donc, tes amis, ils sont gonflés, à ce que j'ai vu hier à la plage. - Ils sont très libres, comme moi. Très chauds aussi. Tu vas apprendre à les connaitre, mais ils sont super sympas aussi. Mets-toi dans l'ambiance et tu passeras de super vacances. ******** Les trois jours suivants se passèrent sur le même mode. Le beau temps aidant, Agnès voyait sa peau passer de l'ivoire au ...