N'épousez pas une pute (1)
Datte: 24/06/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... ni nos parties à trois. Et aujourd’hui, nous étions en train de nous marier Je me demandai ce que les copains m’avaient réservé pour ce soir de noces. Depuis cinq jours, je vivais chez Marc. Les mecs m’avaient "kidnappé" pour, m’avaient-ils dit, que je sois privé de cul pendant une semaine avant la nuit de noces, sans quoi je n’aurais envie de rien ce soir là. De fait, je commençais à trouver le temps long et je me promettais bien de satisfaire Sylvia après ces quelques jours d’abstinence. Le minibus s’arrêta moins de dix minutes après le départ devant une longère que les potes avaient loué. Dans la pièce principale, ils avaient installé un matelas au sol et l’avaient entièrement entouré de rideaux. Ils firent entrer Sylvia au cris de "A poil, à poil...". Je leur dis de se casser et de nous laisser seuls mais ils protestèrent en disant qu’ils allaient attendre derrière le rideau d’entendre les premier cris d’orgasme pour nous laisser. Ce faisant ils se précipitèrent sur moi pour me déshabiller. Quand je fus nu, ils me laissèrent entrer dans le "lit" avec l’ordre de leur passer tous les vêtements de ma femme pour être sûrs que nous serions bien complètement à poil tous les deux. Ce que je fis à l’exception du porte-jarretelle et du voile que je lui laissai sur la tête. Mais, je n’étais pas très à l’aise de savoir mes meilleures potes derrière le rideau. Heureusement, Sylvia se mit à genoux et m’avala le dard. Je ne fus pas long à triquer et à profiter de cette pipe ...
... magistrale. Derrière le rideau, les mecs réclamaient des cris, du bruit, des témoignages audibles de plaisir. Je finis par sortir la bite à l’air et dégoulinant de salive pour leur montrer que j’étais à l’œuvre. Ils applaudirent et je me remis au boulot mais comme ils faisaient beaucoup de barouf, je leur dis de sortir. Ils obéirent. Libérés de cette présence je me mis à baiser comme un fou et Sylvia, qui aime la bite mais à un point que je n’imaginais même pas à ce moment là, se comportait comme une jument en chaleur. Je crus pourtant entendre du bruit. Je m’arrêtai. "Putain les gars vous êtes revenus ? Vous êtes lourds" Il n’y eut pas de réponse. Je m’allongeai sur le dos et dis : "Viens que je t’encule... non dans l’autre sens pour que je puisse te caresser les seins". Ainsi Sylvia me tourna le dos, s’enfila sur ma queue, et tendit ses bras en arrière, me permettant de la tenir par les hanches ou de lui masser les nibards. Je gueulais comme une bête : "Tu la sens ma queue, tu l’aimes hein, je suis sûr qu’elle t’a manquée pendant cinq jours... je suis sûr que tu t’es caressée la chatte en attendant hein...". Elle ne répondit que par des cris d’orgasme. C’est à ce moment que les rideaux s’écroulèrent des quatre côtés avec sept mecs, la bite au vent bien dressée, autour qui nous regardaient baiser. "J’étais dans le feu de l’action. Je leur dis qu’ils c’étaient des gros porcs, des pervers, des obsédés, mais j’étais trop à fond pour m’arrêter. De plus, Olivier levait le pouce en l’air ...