1. Souvenirs, souvenirs


    Datte: 25/06/2019, Catégories: hh, sport, forêt, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation nopéné, confession, regrets, occasion,

    ... sont écartées ; il n’a pas mis de slip. C’est fou : il l’a fait, il a osé ! Je prends ça comme un signe fort. Je regarde avec insistance son entrejambe ; je vois des poils frisottant sur ses bourses. Je trouve cette vision très érotique ; c’est peut-être un peu exagéré, mais je le ressens ainsi. Ma tête est en feu, mon short se gonfle ; je ne peux plus lui cacher mon émotion. Il ne se gêne pas non plus : il regarde entre mes cuisses ; le temps est suspendu. Je me lève. Il est surpris ; lui est toujours au sol, son regard est interrogateur. Je retire mon maillot ; il est de plus en plus étonné. Je baisse mon short, ma verge tendu jaillit ; je suis tout nu devant lui. Il se lève à son tour et se dévêt. Il a un corps d’athlète ; franchement, il est magnifique ! Sa verge est triomphante, décalottée à l’extrême, son pubis est peu fourni, sa tige est fine et longue ; j’ai une envie folle de le toucher, mais je ne sais pas pourquoi, je n’ose pas passer ce pas. — Viens avec moi ; je vais te montrer ce que je fais parfois pour me donner du plaisir. Nous quittons la clairière tout nus en laissant nos vêtements sur place ; nous nous mettons en danger, mais le fait d’être vulnérable nous grise aussi. Francis ne proteste pas ; il semble un peu inquiet, mais cette nouvelle expérience semble le mettre dans tous ses états. Moi aussi d’ailleurs ; nos érections ne sont pas tombées une seconde. On parcourt environ une centaine de mètres sans un mot, sur le qui-vive, à l’écoute des moindres ...
    ... bruits de la forêt, puis on arrive devant une grande parcelle de fougères ; il y en a de toutes les tailles. — Viens, on traverse : tu vas voir comme c’est agréable ! La végétation nous caresse partout ; les fougères coquines nous passent entre les cuisses, c’est divin. En ce qui me concerne, je l’ai déjà fait plusieurs fois mais le plaisir est toujours le même. Francis est aux anges ; il se masturbe en marchant, jambes écartées pour profiter des attouchements des fougères. En plus, avec la rosée du matin, des gouttes d’eau nous roulent sur le corps. Il s’arrête ; on est face à face. Il se masturbe de plus en plus fort, il gémit. Le spectacle d’un homme qui se donne du plaisir me rend dingue. J’aime le voir ; il tremble et il jouit. Sa liqueur se répand sur le sol. Je vois des larmes qui coulent de ses yeux ; son plaisir est intense… Il a du mal à reprendre son souffle ; il me regarde. À mon tour j’ai envie d’éjaculer, de lui montrer mon émoi. Je me décalotte, m’active. Je sens que je ne résisterai pas longtemps. D’ailleurs, je ne fais rien pour me retenir. Moi aussi je me mets à gémir. Je n’ai pas une position élégante, jambes grandes ouvertes, sur la pointe des pieds. J’ai comme une décharge électrique ; ma liqueur monte, gicle, asperge le sol ; je suis assez abondant. Mes jambes sont tremblantes. Francis semble avoir apprécié ; si j’étais courageux, je le prendrais dans mes bras, corps contre corps, mais rien à faire : je n’ose pas passer le pas, pas sûr qu’il apprécierait cet ...