l'esprit de l'escalier
Datte: 28/08/2017,
Catégories:
h,
fh,
ffh,
fagée,
jeunes,
fépilée,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Masturbation
Oral
pénétratio,
totalsexe,
... ami, sans spécialement faire de manières, tantôt en jean, ou en jupe courte et sobrement habillée d’un haut féminin, qui mettait en valeur sa jolie poitrine. Cette fois, rien de tout cela : la nudité la plus complète, absolument rien sur elle. Elle me souriait, rayonnante, radieuse, son corps captait la lumière d’une fenêtre haut placée dans l’escalier et cette éclairage rendait sa peau fine comme transparente, comme une porcelaine précieuse éclairée par le soleil. Nous étions en juillet et il faisait extrêmement chaud. Cette chaleur durait depuis plusieurs jours, ce qui expliquait peut-être sa tenue. Je me réjouis de la voir ainsi car je la trouvais très belle et agréable à regarder, appréciant un corps fin et délié, élancé, des attaches fines, des seins menus et que je trouvais attirants. Elle avait un cul de danseuse, des fesses musclées et un ventre plat où je pouvais voir jouer des muscles abdominaux que j’adorais photographier. Clara était grande, plus grande que moi et j’adorais cela. J’eus aussi le plaisir de constater qu’elle avait cédé à une demande un peu particulière que je lui avais faite quelques jours auparavant : elle s’était totalement épilé le pubis et le sexe, révélant un mont de Vénus magnifique, orné d’une fente plantureuse, bombée et juteuse comme une pêche blanche. Elle avait habituellement une toison fine et souvent, en la photographiant, je lui faisais remarquer que cela ne cachait rien et qu’il n’y avait pas de mystère à conserver sa pilosité. Je ...
... me doutais bien qu’elle avait un mont de Vénus magnifique, sublime, et je me réjouis de voir que j’avais raison. Clara était belle, surtout lorsqu’elle était nue et je faisais tout pour qu’elle le soit le plus souvent possible. Ce jour-là j’étais comblé. Clara me sourit et resta là sur le palier de son appartement. C’est alors que quelqu’un monta… Je m’attendis à la voir s’éclipser rapidement mais elle resta là, baignée d’un rayon de lumière qui la nimbait d’une brume de soleil. Je notai la configuration de la lumière et sortit rapidement mon appareil et la photographiais plusieurs fois, appuyée sur la main courante en bois ciré, le corps courbé gracieusement. Clara savait d’instinct se placer, arrangeant son corps pour que tout soit harmonieux, qu’elle s’inscrive dans le décor et que ce décor la magnifie. Une vieille dame montait doucement les marches de bois grinçantes, accrochée à la balustrade pour s’aider. J’eus peur de la voir s’affaler dans l’escalier en découvrant Clara toute nue, surprise de voir sa voisine s’exhibant ainsi sans honte. Je me dis que Clara exagérait à se montrer ainsi, la trouvant… culottée ! Je la saluai ainsi que Clara. La dame s’arrêta sur le palier, puis me sourit et se tournant vers Clara lui fit un clin d’œil appuyé. C’était une vieille dame d’anthologie, parfaite, tout à fait vieille dame jusque dans les moindres recoins, mais grande, mince et distinguée, habillée avec goût. Seul détail qui m’étonna, son parfum n’était pas celui d’une vieille ...