1. Lettre à Caro - 2


    Datte: 26/06/2019, Catégories: f, fh, ff, fplusag, magasin, chantage, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme chaussures, Masturbation intermast, pénétratio, lettre, totalsexe,

    ... classique oublié. Je me plante devant le miroir et je déboutonne ma jupe, quatre boutons jusque la ceinture puis, en partant d’une cheville, mes deux mains remontent en lissant ma jambe, je tire un peu au genou puis sur la cuisse, je remonte et d’une main, je tire sur mon bas vers ma chatte et de l’autre, je tire derrière. J’ai pris soin d’emmener le pan de ma jupe sous mon bras, je termine le mouvement en attardant mes doigts sur ma touffe et derrière en les remontant entre mes fesses. — Encore, encore, supplie l’artiste, c’est superbe, gracieux et cochon. Vous êtes le diable, Nathalie Je vois que, dans son enthousiasme, il a gardé sa main quelque part sur l’arrière de Françoise et qu’elle ne proteste pas. Je fais face à ce couple bizarre, le prince et la grenouille et je recommence la scène avec l’autre jambe. Pour finir, jambes écartées et bien droites, je glisse mes deux mains sur ma chatte, j’écarte les doigts et je remonte sur mon ventre, je salue en laissant retomber ma jupe. Caro, c’est toi qui m’as appris ce show. Tu te souviens de notre première rencontre au séminaire de math, c’était dans ta chambre, là l’ambiance était intime, amoureuse. Pendant que tu me montrais, j’étais à genoux devant toi. À la fin, tu as approché ta jolie chatte blonde de ma bouche, j’ai léché la fleur rose entre tes doigts, elle a rougi de plaisir, j’ai sucé ton clito, tu as crié et tu es tombée devant moi, nous avons mêlé ton jus et notre salive, quel baiser ! Ici, dans la boutique, le ...
    ... cœur n’y est pas, je suis fière de ma beauté mais le jeu ne m’a pas excitée, je ne retrouve pas le climat érotique de l’autre jour, c’est trop professionnel. La première fois, il était tout près de moi, il jouait avec mon pied sur son sexe, j’avais peur, tout était érotique. Mes deux admirateurs, eux, semblent dans l’ambiance. Lui, ouvre manifestement son pantalon et elle s’aplatit sur le bureau comme l’agneau prêt au sacrifice de son corps. — Ma chère Françoise, moi je ne peux pas toucher, alors vous allez faire le marchand de souliers : allez vous mettre à genoux devant cette belle cliente et présentez un escarpin. Voilà la bonne idée, du coup je laisse filer ma jupe et je tends une jambe avec un vrai plaisir. Pour remercier mon galant, je pose mon pied sur l’épaule de Françoise qui fait un « oh madame » des plus délicieux. Elle est aux premières loges pour voir l’intérieur de mes cuisses et ma grosse toison encore bien serrée dans le fond, je commence à avoir envie de continuer. Les commentaires sont très élogieux : — Regarde bien, Françoise, au-dessus du bas, la finesse de la peau, l’ombre des muscles qui courent vers le périnée. Ils sont bien développés, je parie quelle peut se faire jouir rien qu’en se contractant, bienheureux l’homme pris dans ce divin piège. On retrouve le sculpteur en herbe. Il a raison le salaud, quand je m’ennuie à l’étude, je pense à nous, c’est encore toi qui m’a appris à me contracter jusqu’à la jouissance. C’était à ce fameux colloque de math – ...
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