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Une sacrée soirée (1)
Datte: 23/06/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme
... voir jouir comme ça. Le vibro continuait son œuvre ce qui donnait l’impression que Mélanie était possédée par une centaine de mains invisibles qui palpaient frénétiquement tout son corps qui se mit à vibrer, à trembler et à se tordre de toutes parts. Puis son corps se tendit à l’extrême accompagné d’un gémissement aigu et saccadé jusqu’à ce que le volcan qui vivait en elle ne déversa sa lave brûlante et libératrice. Vaincu, son corps s’affaissa sur sa chaise. Sa respiration retrouvait petit à petit un rythme bien plus raisonnable. C’est l’instant que choisit Luc pour lui retirer le vibro ce qui la fit frémir et pousser un grognement étouffé par son bâillon. Luc aurait pu la libérer tout de suite, mais il préféra se faire d’abord un autre café en profitant des gloussements de plaisir de Mélanie. Il but son café tranquillement en se disant que c’était une soirée fantastique. Il posa la tasse vide sur la table et entreprit de retirer les menottes des chevilles de Mélanie. Il y a toujours une période de calme entre deux tempêtes. Luc s’assit en face de Mélanie, installa ses jambes sur ses cuisses et lui massa les chevilles et les pieds, allant même jusqu’à lécher ses orteils. Mélanie, grisée à la fois par le champagne et son dernier traitement, totalement détendue, profitait pleinement des bienfaits des mains magiques de Luc. Son corps ondulait toujours au rythme de ses petits gémissements de volupté. Au bout de quelques minutes, Luc reposa les pieds de Mélanie sur le sol. Il ...
... se leva, passa derrière Mélanie et lui retira l’anneau qui retenait ses menottes au dossier de la chaise. Il l’aida à se mettre debout puis menotta à nouveau ses chevilles. Il la libéra aussi des pinces de ses tétons, acte ponctué par deux petits cris. Il lui laissa les yeux bandés et son bâillon dans la bouche. Luc la souleva et la prit dans ses bras. Mélanie gigota quelques secondes en prononçant quelques mots inintelligibles, puis se laissa aller au creux des bras de Luc. Il la porta comme ça jusque dans leur chambre au premier étage. Là régnait en son centre un lit à baldaquin, toujours utile, sur lequel Luc déposa Mélanie plus ou moins délicatement à tel point que quand son corps entra en contact avec le matelas elle poussa un cri de surprise, puis rassurée elle se tortilla comme une liane voluptueusement sur le lit. Se faisant rouler tantôt sur le dos, tantôt sur le ventre elle se cambrait en essayant tant bien que mal de se caresser les seins et le sexe. Luc ne la quittait pas des yeux tout en préparant divers ustensiles pour la suite. Il fit cependant une petite coupure pour menotter ensemble les poignets et les chevilles de Mélanie. Ses pieds et ses mains se touchaient dans son dos. Elle était délicieuse. Luc la caressa, la malaxa jusqu’à ce qu’e pas la moindre parcelle de son corps ne soit épargnée. Un régal. Petite halte pour lui passer des menottes à ses coudes, à ses pouces et à ses orteils et Luc reprit son malaxage. Il la fit rouler sur le dos et ses cuisses ...