Au couvent (1)
Datte: 28/06/2019,
Catégories:
Lesbienne
... délicieuse branlette. Après avoir joui deux fois de suite, comme Sœur Thérèse, elle remet sa culote par-dessus le morceau de cierge émergeant de manière à bien le caler dans ses trompes de Fallope comme le chante Georges Brassens dans « Mélanie » Au repas du soir, c’est Sœur Thérèse qui fait la lecture d’un passage de l’Evangile de Luc sur Marie Madeleine. Angélique qui connaît la controverse sur la vie sexuelle de cette Sainte, ne cesse de regarder la lectrice en pensant que Sœur Thérèse est bel et bien une salope et se demande si elle a toujours le demi cierge entre les cuisses. Ses pensées lui déclenchent un jet decyprine et subrepticement, porte sa main sur sa robe à l’endroit de ses désirs. Elle sent le cierge et en essayant de ne pas attirer l’attention, opère une discrète masturbation. L’oratoire terminé, c’est Mère Marie qui invite l’assemblée à dire le « Je vous salue Marie » avant de rompre le pain pour débuter le repas. Pendant la prière, Angélique a à peine baissé les yeux pour observer la Mère supérieure. Sait-elle quelque chose sur notre après-midi avec Thérèse ? Le repas terminé, chacune rejoint sa chambre en silence alors que Mère Marie s’approche d’Angélique et lui chuchote à l’Oreille : « Sœur Angélique voulez-vous me rejoindre dans mon bureau, j’aimerais avoir un entretien avec vous. Ne vous inquiétez pas, rien de grave, juste pour connaître votre impression sur notre congrégation. » La Mère supérieure est une femme mature de la cinquantaine avec un doux ...
... visage qui ne trahit pas son âge. Elle n’a pas l’air revêche comme sont souvent présentées les Mères supérieures des couvents. Elle reçoit Angélique d’une façon très cordiale. « Alors Sœur Angélique, êtes-vous bien intégrée dans notre maison ? J’avais missionné Sœur Thérèse pour faire le point sur votre engagement. Elle m’a rapporté des éléments encourageants mais m’a signalé une inquiétude de votre part sur la façon dont votre jeunesse vivait sa libido. Est-ce bien cela ? » « Oui mère, je me suis confiée assez librement et Sœur Thérèse m’a aidé à surmonter mon inquiétude » La mère supérieure se lève de derrière son bureau et s’approche très près d’Angélique. En lui caressant affectueusement le visage, une main s’égare sur sa poitrine sans insister. Angélique la fixe dans les yeux. « Ma chère Angélique, il est vrai que vous avez un joli minois et que votre corps que j’imagine attirant, devait faire rêver les garçons. Est-ce là la raison de votre trouble ? » « Pas exactement ma Mère, je n’ai jamais été attirée par les garçons mais j’ai découvert que mon corps n’était pas tout à fait en adéquation avec mon nouvel engagement » « Ce n’est pas grave car c’est la nature qui commande nos pulsions et les refouler peut-être dommageable pour notre équilibre » « C’est un peu ce que m’a fait comprendre Sœur Thérèse » « Elle a eu raison. tectjjao Regardez, en étant si près de vous, j’ai envie de vous embrasser » Cela dit, Mère Marie se rapproche encore plus, les corps se touchent presque, ...