1. Sébastien n'était pas l'homme qu'elle croyait


    Datte: 28/06/2019, Catégories: fh, amour, pénétratio,

    ... tee-shirt et ne trouve aucun obstacle pour arriver aux mamelons. Ils sont d’une taille modeste, mais leur bouton est bien ferme. Entre le pouce et l’index il en fait rouler un, provoquant un gémissement de plaisir. De son côté, elle a saisi dans sa paume l’objet de son désir et s’en frictionne le nombril. Elle repousse Sébastien l’obligeant à s’asseoir. Sa main peut alors guider l’outil contre sa fente. Fléchissant les jambes, elle s’assied sur les genoux masculins, doucement s’avance de manière à être en contact appuyé avec l’extrémité de la queue. Elle se frictionne de bas en haut, insistant particulièrement contre son bouton. Émerveillé par cette initiative, Sébastien remonte le tee-shirt afin d’admirer les moitiés d’orange. Sa bouche ne peut les atteindre. Se redressant elle amène ces fruits à bonne hauteur, maintenant la tige face à sa fente. Puis lentement elle descend. Quand Sébastien peut enfin sucer les fraises convoitées, il prend les fesses en main pour immobiliser le corps à hauteur désirée. Corinne se retrouve à demi chevillée, en suspension. Repliant ses jambes, elle s’affaisse, enfonce ainsi au plus profond d’elle l’outil masculin. Les seins échappent à son amant, qui trouve par contre maintenant la bouche à hauteur de la sienne. Quelques secondes ils restent immobiles, leurs corps liés, faisant connaissance. Instant merveilleux, où ils s’embrassent avec passion. Ce n’est que le prélude. La première elle raidit les jambes pour amorcer le va-et-vient ...
    ... voluptueux. Une main de Sébastien au milieu du dos maintient la poitrine au contact de la sienne, l’autre se place entre les fesses et aide au mouvement alternatif. Longuement ils s’aiment, se baisent. Le suc féminin suinte bientôt sur la main, mouillant les doigts masculins. Sur ce terrain devenu glissant, le majeur tout imbibé fixe sa prise dans l’orifice encore libre. La pénétration de la phalange dans ce puits resserré provoque la surprise et une réaction féminine fulgurante, déclenchant l’orgasme. Elle se raidit, contracte ses muscles vaginaux provoquant le plaisir masculin. À nouveau ils restent figés, frappés par leur plaisir simultané. Corinne appuie sa tête sur l’épaule masculine, les bras entourant le cou. Elle se sent au paradis. La nature reprenant ses droits, Sébastien se trouve libéré de l’étau féminin. Constatant le fait, elle se redresse en souriant, portant rapidement une main entre ses cuisses afin d’éviter un écoulement intempestif, et se presse vers la salle de bain suivie de près par son compagnon. La pizza est décongelée, a eu même le temps de refroidir. Cela n’a pas d’importance, ils la mangent en se regardant amoureusement. Elle a noué une serviette autour de son buste, mais il la fait rapidement tomber voulant admirer longuement les seins. Elle a protesté, mais, devant son regard émerveillé, est restée nue. — Depuis le début, je cherchais comment te remercier pour tout ce que tu faisais pour moi : m’embaucher, moi une fille, me former, me faire confiance. Et ...
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