COLLECTION LESBIENNE. Femme pour femme (8/8)
Datte: 29/06/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
... venir le notaire. J’ai promis à Aline que tu l’installerais dans son cabinet d’infirmière privé personnel ici à Salins. Elle fait partie de nos tendances sexuelles, je l’aurais bien caressée un peu, mais j’ai déjà du mal à vous tenir les mains, les filles. Enfin, mais ça c’est dans le coffre, je veux être incinérée comme ta maman et je souhaite que mes cendres rejoignent les siennes. - Sans problème Marguerite, je vais t’avouer quelque chose, lorsque avec papa j’ai ouvert l’urne, une grande partie des cendres de maman sont tombées sur la petite plage de sable près de notre tente. Nous mettrons les tiennes au même endroit. Même si avec le temps, tout a disparu, je suis sûre que votre ADN se mélangera pour l’éternité. Marguerite ferme les yeux, ses mains se détendent et les appareils se mettent à sonner. Marguerite rejoint maman son amie et son chien. La cérémonie est sobre, inutile à perdre du temps à décrire toutes les formalités, je parlerai de deux choses. Côté notaire et grâce à l’aide de Marie, les biens de Marguerite me sont revenus. Aline qui a accouru quand les appareils ont sonné est dans notre lit entre Marie et moi. Attention, notre deuil oblige, c’est trois mois plus tard pendant nos vacances que nous avons fait plusieurs choses. La première Marguerite, du moins, ses cendres reposent sur la petite plage avec en plus les cendres de Loulou sa dépouille conduit chez le vétérinaire et qui attendait ce que sa propriétaire revienne. Marie a eu une idée respectant la ...
... parole donnée concernant Aline. Papa est ici à Salins dans l’appartement que nous avons fait aménager au premier étage de la maison de Marguerite. Il a son infirmière particulière qui vit avec lui, du moins jusqu’à son coucher. Nous avons fait aménager un ascenseur qui permet de descendre son fauteuil roulant. Il sert à la petite pour le sortir et le promener jusqu’à sa rivière. Marie et moi n’avons eu aucun mal à amener Aline dans notre lit. Marguerite avait raison, elle aime les femmes. J’adore quand je suce la chatte de Marie pendant qu’Aline me suce de son côté. À trois, nous découvrons des positions impossibles à 2. Nos jouissances nous les atteignons plus souvent car à tout moment l’une de nous a envie de l’une ou de l’autre. Mais tout a une fin, même les vacances. Papa installé, Aline à ses petits soins, bien rémunérée pour vivre près de lui, nous rentrons à Paris avec Marie. Avant de partir en vacances, j’étais près des bureaux du cabinet d’avocats. Sortant d’avoir vu une cliente, j’ai fait le chemin pour la rejoindre, j’étais à deux pas. J’avais vu la plaque sur le devant à côté de la porte. « Brigitte M. » Sans lui dire, M comme Molière, ça m’a interpellé, j’ai ouvert mon carnet, il y avait des chances que j’aie raison. - Brigitte Molière ! - Oui, que voulez-vous. - Êtes-vous la fille de Stéphanie Molière ? - Oui, c’est maman, que lui voulez-vous, elle est décédée il y a deux ans. Marie avait raison, elle fait partie des lesbiennes refoulées, je suis une femme pour ...