1. Marion ; une veuve, une maman (1)


    Datte: 29/06/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... sont tous les deux le fruit de ses entrailles ; pourtant, on ne peut pas faire plus différents que ces deux là… Or, justement, voilà que Mathieu ouvre la porte de la salle de bain, et qu’il tombe sur sa maman en train de se brosser les dents. Marion lève la tête, intercepte le reflet de son fils dans le miroir mural ; elle lui souri à travers la glace, agite amicalement la main. Il se contente de baisser le visage, comme s’il boudait, refuse de répondre à son petit geste d’affection. — Encore deux minutes, mon chéri, j’ai presque fini… Je te laisse la place tout de suite, dit Marion. — C’est bon Maman, je ne suis pas pressé, prend ton temps, répond Maxime en maugréant. — Non, je t’en prie mon chéri, j’ai fini, insiste Marion. Elle se frictionne les cheveux en se dépêchant, constate que sa sortie de bain baille beaucoup trop, la remet en place en enfilant ses mules. Elle gratte tendrement, en passant, la joue du garçon du revers de l’index, et sort en refermant la porte. L’adolescent ne bouge plus, ne respire plus ; il est paralysé. Si elle avait été attentive, Marion n’aurait pas manqué de remarquer le regard braqué de son fils dans son peignoir ouvert. Elle aurait réalisé qu’elle venait d’allumer un véritable brasier en lui permettant de découvrir l’esquisse de sa poitrine, l’amorce de ses gros seins au parfait arrondi galbé. Si Marion avait pu simplement se douter que son fils nourrissait de telles pensées à son égard, elle aurait ressenti un profond malaise, une ...
    ... répulsion à la mesure de son indignation. Mais Marion, qui savait pourtant tant de choses, ne savait pas ce qu’elle représentait depuis si longtemps pour son fils. Que c’était le trouble permanent que lui inspirait sa mère qui était responsable de son comportement fantasque, lorsqu’ils se retrouvaient en tête à tête... Cela avait commencé à la puberté. Grandir sans père, quand on a seulement dix ans, représente un handicap pour certains enfants prédisposés à une mélancolie durable ; ils focalisent toute leur attention sur le parent présent. De plus, Mathieu avait souffert durant son enfance de l’affection débordante que sa mère témoignait à son fils ainé. Il savait qu’elle l’aimait lui aussi, ce n’était pas la question. Mais c’était plus fort que lui : l’amour qu’ils avaient partagé ensemble pendant toutes ces années le rendait jaloux à présent. xrexddhn Jalousie inutile qui s’était transformée en rivalité, vers l’âge de treize ans. Il avait alors pris conscience que sa mère avait un corps, et qu’il avait de plus en plus envie de toucher ce corps. Paradoxalement, quand elle lui manifestait de l’affection, qu’elle le pressait contre son sein, il était terrifié à l’idée qu’elle s’aperçoive que ce simple geste innocent le faisait bander. Il avait alors commencé à fuir tout contact charnel avec sa mère. Elle avait mis cet embarras passager sur le compte du changement, ce débordement hormonal si difficile à gérer par les jeunes garçons qui cherchent à s’affranchir de l’emprise maternelle ...