Au bord du vide
Datte: 29/06/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
vacances,
amour,
dispute,
Oral
pénétratio,
fdanus,
init,
mélo,
prememois,
... qu’elle semble s’apaiser. Alors, il fit rouler ses reins contre les fesses de Marie, l’entraînant dans son mouvement. Leurs peaux restèrent collées. Il ne faisait qu’aller et venir lentement, mais sans déplacer d’un iota son membre du fond où il se trouvait. Seuls leurs reins se balançaient, doucement. Marie ne protestait plus. — Haann… haleta Maxime, se laissant enfin aller. Humm, j’aime ça… c’est bon, Marie… mmm… Elle ne disait rien, le corps couvert de sueur, mais l’écoutait, attentive, les yeux plissés. Elle lui présentait son sexe par l’arrière avec une avidité presque sauvage. La pénétration ne semblait plus lui faire mal. Il fit soudain aller et venir ses reins contre ses fesses, la labourant de plus en plus fort. Le membre rigide poussait loin, puis se retirait, poussait encore plus fort, et Maxime haletait derrière elle, la tenant à nouveau par les seins. À chaque assaut de reins, elle chancelait, ses cheveux pendant et ruisselant sur les draps, sa chatte remplie de son sexe jusqu’à la garde. Elle mouillait abondamment, Maxime s’enfonçait vite et vigoureusement. Lentement, Maxime lâcha un sein de la jeune fille, et vint poser son pouce contre l’orifice foncé et plissé de son anus. Il le laissa là, quelques secondes, puis l’introduisit lentement dans l’anneau étroit. Marie poussa un gémissement. — Max… bégaya Marie, le front humide de transpiration. Arrête, je t’en prie… Mais tout son corps bougeait avec envie contre Max. Il ouvrit des yeux bleus brouillés de plaisir. ...
... — Pourquoi ? souffla-t-il. Tu n’aimes plus ça ? En même temps, il faisait tourner son pouce dans son anus, le vrillant dans cette corolle de chair souple qui se contractait sous son passage. — Si mais…— Mais… quoi… ?— Mumm… je sais pas… oohh… Elle râlait, convulsivement. Il la besognait maintenant avec une passion brutale. Leurs reins se cognaient, se collaient, s’éloignaient, revenaient se cogner, avec tant de puissance que Maxime rendit les armes et éjacula comme un fou. Le jet de sperme gicla sur les fesses tendues de Marie, lorsque que Maxime sortit d’elle, pour mieux se plonger à nouveau tout au fond de son vagin. Pour la première fois, Marie eut conscience de ce feu brûlant qui buta au fond d’elle. Et du pouce qui était resté planté dans ses entrailles, la sodomisant à moitié. Max continua à aller et venir quelques instants, puis s’arrêta complètement avec un râle étranglé, éperdu de jouissance. Le souffle accéléré, Marie resta immobile, puis sentit que le membre de Max se retirait de son ventre, ainsi que son doigt de son sphincter. Alors, elle s’effondra sur le matelas. L’intérieur de ses cuisses et son anus la brûlaient. Elle essaya de ne plus penser à la soudaine douleur qui meurtrissait sa peau, son intimité. Le sperme refroidissait sur ses fesses, entre ses cuisses. Maxime tomba alors sur lit à son tour, essayant de retrouver sa respiration. Puis il tourna la tête vers Marie, qui avait gardé le visage contre les draps. — Ça va ? souffla-t-il.— Oui, dit-elle d’une ...