1. Dans le bois derrière chez moi, il y a...


    Datte: 29/06/2019, Catégories: fh, hh, voisins, vengeance, Oral pénétratio, hsodo, confession,

    ... revient… une seconde fois… Le salaire de la perversité…Il me remplit. C’est bon. Nous reprenons notre souffle. Je lui propose à boire. Il s’apaise et pourtant il continue de me regarder. — Juliette ! Si j’avais su combien tu…— Chut. Tais-toi. Je ne t’ai pas tout dit. Viens, suis-moi. Il monte les escaliers derrière moi. J’ai l’impression de sentir son regard sur mes fesses. Je sens son foutre couler le long de mes cuisses.« C’est agréable ! Je deviens vraiment salope ! » je pense. Gaël n’a évidemment pas bougé. Romain le découvrant ainsi, la télé allumée montrant le salon, comprend ce qui s’est passé. — J’ai bien compris le message, m’annonce mon mari. Pas plus vénère que cela. Tu peux me détacher ?— Et mec, je ne savais pas, se défend Romain, nu comme un ver qui se sent manipulé.— Du calme. Tout est de ma faute. Chérie, je te dois des excuses.— Tu ne m’en veux pas de…— Pas du tout. Au contraire je t’ai trouvée très belle, coquine, désirable. Je suis un con de ne pas avoir su le détecter. Les minutes qui suivent se passent à détacher mon mari et surtout à leur raconter, sur leur insistance, comment je suis au courant et tout ce qui m’a amené à ce stratagème. — Abi savait ?— Oui, mais j’avais exigé le secret le plus absolu.— La coquine.— Il ne faut pas lui en vouloir.— Oui, mais tu aurais pu organiser ce genre de rencontre avec elle puisque tu savais que tu lui plaisais.— Il m’a semblé qu’avec Romain ce serait plus marquant. Je n’ai jamais rien fait avec une femme. C’est ...
    ... idiot, mais en faisant cet aveu j’ai l’impression de montrer une faiblesse. — Il faut bien commencer ! N’est-ce pas Gaël ? dit Romain avec un sourire complice.— Tout à fait ! Chérie cela manque à ton éducation. Ils se moquent de moi. De nouveau me voici la « coincée » de service. — Pourquoi tu ne lui demandes pas de venir. Elle est à la maison. Comme j’ai suivi tes consignes, j’ai parlé d’un rendez-vous. Appelle-la. Reçois-la comme tu m’as reçu et nous nous ferons très discrets. Juste toi et elle. Tu verras, Abi mérite d’être connue… Je trouve le comportement des deux hommes, manifestement complices dans la perversité, tout à fait dans la ligne « Voir ta femme avec Abi, ce serait super », avait dit Romain ce jour-là. — Tu te dégonfles ! m’assène celui qui était mon mari et que j’ai « humilié » avec Romain. Si je me dégonfle ? Moi, jamais ! Encore moins avec un petit verre de « poire » si goûteuse qu’elle damnerait un saint. — Oh. Quelle tenue ! Je ne comprends pas, tu me demandes de venir et manifestement je dérange. Gaël est dans le coin, j’imagine. C’est vrai que, même pour recevoir une femme, ce que je porte prête à confusion. — Non ! C’est pour toi.— Pour moi ?— Oui, j’ai bien réfléchi. Je ne vois pas pourquoi je me priverais de certains plaisirs ?— Oh ! Comme son mari, Abi est surprise. Mais il ne lui faut pas beaucoup de temps pour : — Juliette, tu es certaine…— Oui. Comme son mari, elle fait le premier pas. Mais avec elle, tout est premier. Mon premier baiser de femme. Mes ...
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