1. Le traquenard


    Datte: 29/06/2019, Catégories: fhhh, hplusag, extracon, inconnu, campagne, danser, fête, amour, humilié(e), jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, pénétratio, double, Partouze / Groupe extraconj,

    ... un bon convive. Et j’aimerais bien retrouver ma petite femme.— Allez, François. Tu me retrouveras, promis. On ne rentrera pas tard.— Mais vous n’avez pas besoin de rentrer. J’ai de belles chambres d’hôtes. Vous testerez.— D’accord. Je vais préparer quelques affaires à l’appart. Je reviens. Elle ne m’avait même pas laissé le choix. Je la regardais s’éloigner pendant que Claude me resservait du champagne sous le regard impassible mais satisfait de Jean-Pierre. Décidément, elle était toujours « accro ». Tout en pensant ça, je devisais poliment et même gaiement avec Claude et Jean-Pierre. Il ne fallait rien laisser paraître. La partie allait être serrée. C’est à ce moment que j’ai eu ce flash. Je me dis que si les Arnaud utilisaient la vidéo, je pouvais sans doute m’en servir aussi. Et ça tombait très bien car en venant chercher ma belle, j’avais utilisé le super matériel dernier cri de mon entreprise pour filmer un chantier. En plus, j’avais une cassette vierge et longue durée. Ce n’était pas très joli comme procédé mais perdu pour perdu, cette fois-ci j’étais décidé à agir. J’étais de dos à la porte. Les visages ravis de Claude et Jean-Pierre me confirmèrent dans ma détermination. Carole venait d’apparaître dans une petite robe noire à bretelles très féminine. — Elle vous plait ?— Oui, tu es superbe. N’est-ce pas Claude ?— Oui tu, euh… vous êtes magnifique !— Et toi, mon chéri, elle te plait.— Elle te va très bien en effet, mais tu n’auras pas froid ? Nous sommes presque en ...
    ... hiver.— Tu me réchaufferas, mon amour. Ils partirent tous les trois d’un grand éclat de rire. Moi, j’en étais encore au « tu …euh… vous » de Claude. Étonnant. Mais chaque chose en son temps. D’abord pendant le trajet, seuls en voiture, il fallait essayer de s’assurer de ses bonnes intentions. — Tu sais, tu m’inquiètes un peu ma chérie.— Pourquoi donc ?— Tu étais très mignonne en jean. Pourquoi as-tu passé cette robe si… sexy ?— Pour te faire honneur, d’ailleurs, je ne te quitterai pas de la soirée.— La soirée risque d’être courte, je suis crevé, tu sais.— Allez, fais un effort. Ensuite on est en vacances. Tu te reposeras à la maison.— D’accord. Mais demain, on part de bonne heure. J’ai besoin de visionner une cassette du boulot et de la passer au bureau ensuite.— Oh, ton satané boulot. Oublie-le un peu à la fin !— Bon, ok. On partira quand on aura dormi, mais… il faudra quand même que je visionne la cassette.— D’accord. Je t’accompagnerai à ton bureau si tu veux.— Sympa. J’ai vraiment une sympa et jolie femme.— Et qui t’aime, mon chéri. Sur ces belles paroles, nous arrivâmes à la ferme de Jean-Pierre. Effectivement, les travaux l’avaient transformée en un superbe gîte rural. Je remarquai à côté, le hangar qu’un orage d’été avait laissé en piteux état. Jean-Pierre nous présenta Manuel, son ami espagnol. Autant Claude était quelconque, autant « Manu » était un bel homme, au regard noir troublant. C’est ce que je me dis en observant la réaction de Carole. Jean-Pierre nous fit ...
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