1. Trois femmes un soir d'été (2)


    Datte: 29/08/2017, Catégories: Transexuels

    ... continuer en levrette. J’acceptais, totalement enivrée par les boissons et la situation, je me remis à 4 pattes et lui tendis mon postérieur, qu’il rejoignît sans se faire prier. Ses mains sur mes hanches, il me prenait comme sa chienne, et, baissant la tête, je voyais un fil de liquide séminal pendre de ma bite. Je le sentis ralentir, m’attraper par la poitrine, puis me relever à genoux contre lui, toujours planté en moi. Il m’embrassa dans le cou, garda un bras sur mon ventre pour me retenir, sa main s’activant sur ma fausse poitrine, sa deuxième s’empara de mon sexe, et le branla, pendant qu’il s’activait de nouveau en moi. Je couinais de plus en plus sous les assauts de plaisir, son phallus en moi, le mien masturbé dans sa main, puis je me suis contracté et j’envoyais de longs jets de sperme dans le sable devant moi. Dévastée par l’orgasme, je retombais à 4 pattes, tombant même sur mes bras. Il finit ses va-et-vient en moi, se contracta à son tour et je senti le préservatif se remplir. Il retomba sur moi, puis me fit basculer en cuillère pour terminer son câlin. Il se retira, noua le préservatif, puis se rhabilla. Je remis mon shorty de bain, passant une bande d’adhésif pour maintenir mon pénis, puis je réajustais ma ...
    ... robe. Je pris mon téléphone, et envoyait un message aux filles pour savoir où les retrouver, tandis que nous prenions le chemin du retour. Arrivés vers la plage privée, Noémie m’attendait, et ne sut me saluer autrement qu’en m’embrassant à pleine bouche, sous le regard étonné des gens dehors. Je saluais mon amant d’un soir, le remerciait, puis on se dirigea vers la voiture avec Noémie. Aussi peu en mesure de conduire l’une que l’autre, on s’installa à l’arrière pour se raconter notre soirée. Arthur lui en avait fait voir de toutes les couleurs, mais elle préférait les ébats avec Marie et moi. Je lui racontais ce que j’avais vécu, et excitée par la situation une main se perdit sous sa robe. A la fin de mon récit, elle me tendit son doigt, que je suçais avec plaisir tellement son goût était enivrant. Alors qu’elle vient se coller à moi, je glisse ma main sous sa robe, et constate que la garce n’a pas remis sa culotte. Je taquine son clitoris, la faisant perdre ses moyens, quand mon portable sonne. Je réponds à Marie, qui vient nous rejoindre. Déçus de ne pouvoir abuser l’un de l’autre avec Noémie, on se remet en ordre et sortons de la voiture. Marie nous raconte à son tour, puis nous remontons à bord pour s’endormir sur le parking. 
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