1. Addiction


    Datte: 29/08/2017, Catégories: fh, hplusag, couleurs, extracon, fépilée, hotel, volupté, ecriv_f,

    ... sautais au cou de François pour l’embrasser goulûment. Il me portait par mes fesses jusqu’au lit avant de se coucher sur moi. Nos langues dansaient la gigue tantôt dans sa bouche, tantôt dans la mienne. François me dépoitrailla en déboutonnant ma robe longue jusqu’au nombril, à tâtons. Mes seins sautèrent hors du vêtement pour s’écraser contre sa large paume qui en engloutit un. Puis tout en continuant à nous embrasser, il insinua sa main dans la fente de ma robe et me caressa à travers le string que j’avais emprunté à son ex. Un picotement de jalousie me prit au cœur en y pensant puis je levais une jambe pour lui permettre de dégager le fragile tissu hors de son support : Il resta accroché à mon autre cuisse mais n’était plus désormais un rempart à ma féminité, prête à être outragée. Je mouillais comme une fontaine. Il abandonna ma bouche pour engloutir un sein. Je soupirais : — Je t’aime… Ohhh… Je t’aime… J’étais emportée par la passion qui m’envahissait comme un raz-de-marée. François écarta le pan de ma robe fendue pour ouvrir mes cuisses et s’y installer. Entre temps, il s’est dézippé le pantalon et avait sorti son arme absolue. Il cala son pénis contre ma vulve et poussa lentement. Mon corps fiévreux et frissonnant l’engloutit et il put profiter enfin de ma chaleur intime, tout au fond de mon vagin. J’entourais sa taille avec mes jambes, posant mes talons aiguille sur ses fesses musclées, clouée comme un papillon. Il m’embrassait la bouche, la joue, le front, ...
    ... obligé de reprendre son souffle entre deux. J’avais la tête renversée en arrière, la bouche ouverte, recherchant mon souffle. Il me besogna longtemps… Il se releva tout en me relevant en me tenant par le cou. J’eus la vision de ma chatte plissée écartelée par cette matraque noire ce qui m’excita encore plus : je poussais un cri car une jouissance lourde m’emporta, dévastant mon ventre jusqu’au moindre de mes muscles. Je m’effondrais tandis que François se recoucha sur mon corps en reprenant son piston. J’avais mal aux cuisses écartelées par la masse de François mais je voulais qu’il continue. Il me fit encore jouir lourdement… Je jouissais sur commande… Je jouissais rien qu’à l’idée que François me possède. Mes orgasmes devinrent assez pénibles à avoir : ils devinrent un mélange sulfureux entre douleur et plaisir. C’est seulement après une heure de sauvages empoignades que François se déversa enfin dans ma chatte, inondant les jeunes parois de mon vagin de son mâle jus. Moi, je ne suis plus arrivée à compter mes orgasmes. J’avais mal sur tout le corps comme si un rouleau compresseur avait déchiqueté chacun de mes membres. François s’écroula en soufflant bruyamment. Moi, incapable de me tenir sur mes jambes, je restais à quatre pattes pour retirer ma robe et mon string. Délacer mes chaussures à talon était au-dessus de mes forces aussi, je restais ainsi juste chaussée lorsque je revins m’allonger près de mon homme. Il me prit dans ses bras et je me sentais bien. (à suivre) 
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