Le 12 Juillet 2011
Datte: 02/07/2019,
Catégories:
fh,
2couples,
piscine,
vengeance,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
vidéox,
fsodo,
échange,
entrecoup,
... il a toujours échoué. — Caresse-toi, ordonne-t-il à sa femme qui s’exécute en portant une main vers son clitoris. À moi de conclure. Je me penche sur le dos d’Emma, attrape ses tétons et les roule entre mes doigts. Toutes ces excitations lui font oublier ma queue. Alors, je tire les tétons vers moi, en arrière, l’obligeant à reculer pour diminuer la douleur. Et c’est ainsi qu’elle-même vient s’empaler sur ma bite. Ce n’est pas mon sexe qui avance, mais l’anus qui l’avale, progressivement, sans à-coups, glissant grâce à la crème hydratante, le long de la hampe. Grand prince, je cesse de torturer ses petits bouts lorsque mes couilles butent sur ses fesses. Luca n’a pas cessé de regarder et je me fais la réflexion qu’il doit regretter qu’aucune caméra n’immortalise cet instant. Un peu vexée du peu d’attention qu’il lui porte, Julia s’allonge à nos côtés et lui présente une chatte qui ne demande qu’à être occupée. Il retourne à ses devoirs et moi aussi, j’ai en « live » le plaisir ? le fantasme ? la jalousie ? de voir ma femme se faire prendre par ce pieu encore plus imposant que le film ne le laissait voir. Je comprends qu’Emma ait refusé la sodomie à son mari. Mon propre sexe est littéralement étranglé et pressé de toutes parts par le conduit de mon enculée. Nous sommes immobiles, encore que je ne suis pas certain que sa main ait cessé de caresser son clito. Sans bouger, uniquement par la contraction de mes muscles, je fais gonfler ma verge, envoyant ainsi des ondes dans ...
... l’anus. Emma répond à ces sollicitations en bougeant légèrement, ce que je prends pour une invitation. Lentement, lentement je me retire, sans sortir mon gland et recommence la possession. Je suis le plus délicat possible, essayant de me faire pardonner le « viol » de son petit trou. Il n’est pas question de mon plaisir, mais du sien. C’est le but que je me suis fixé. Faire hurler une femme de plaisir, devant son mari, et pour la première fois par la petite porte. J’abandonne ses seins pour me redresser et me servir de ses hanches comme appui. Ce simple déplacement change la position de ma queue dans l’anus et elle semble apprécier. Alors je me lance. Avant. Arrière. Avant. Arrière. Elle ne se dérobe pas. J’ai même la sensation qu’elle est maintenant décontractée. Je me retire complètement. Son anus reste ouvert, dilaté. Je replonge d’une seule poussée. — Ahhhhhhh ! gémit-elle. Douleur ? Plaisir ? Une main palpe mes couilles. Retour de la bergère au berger. Elle les tire, les enveloppe, les presse. Je me déchaîne, l’encule maintenant avec force, guidé par cette main qui me montre le rythme et l’amplitude. Chaque avancée est ponctuée par un « oui » qui sort de ses lèvres, comme si ma queue chassait l’air de ses poumons. Elle me sert avec une telle force que je suis obligé de demander. « Pas si fort ». Elle me lâche. Je continue. — Oui ! Oui ! Oui. Ouiiiiiii… Elle jouit. Son corps semble possédé. Ses fesses tremblent. Sa tête s’agite dans tous les sens. — Ouiiiiiiiii… Première ...